Le 24 septembre 2015 – Année R+C 3368
ENGAGEMENT POUR LA PLANÈTE
Jusqu’à une époque relativement récente, les écologistes, déclarés ou non comme tels, n’étaient pris au sérieux, ni par les dirigeants politiques, ni par le peuple. On les considérait, au mieux comme de “doux rêveurs” en rupture avec la réalité, au pire comme des marginaux opposés au “système”. Aux yeux de la grande majorité des êtres humains, la planète semblait indestructible, invulnérable, inaltérable… La nature elle-même était perçue comme une très belle “mécanique”, réglée pour durer indéfiniment. De plus en plus exploitée et maltraitée, elle donnait pourtant des signes de déséquilibre et de désordre, mais très peu de personnes s’en préoccupaient.
Le développement de la technologie et de la science, conjugué à l’augmentation constante de la consommation, a conduit à une industrialisation de plus en plus grande de la société, et avec elle à une altération croissante de l’environnement : pollution des sols, de l’eau et de l’air ; déforestation excessive ; destruction des écosystèmes ; disparition définitive de certaines espèces animales ; émission massive de gaz à effet de serre, etc. Cette dégradation de la nature s’est mondialisée et concerne désormais l’ensemble de la planète. C’est donc la Terre elle-même, en tant qu’espace de vie, qui est aujourd’hui menacée, au point de compromettre à court terme l’existence même de l’humanité.
L’un des dérèglements les plus marquants de la planète est celui du climat, et ce, sur tous les continents. Longtemps nié ou minimisé, ce dérèglement climatique est désormais admis par la communauté scientifique et par une très grande partie de la population. Or, sans aller jusqu’à dire que c’est l’activité humaine qui en est responsable, il est établi qu’elle contribue au moins à l’accélérer, notamment en raison de la trop grande émission de gaz à effet de serre. Toujours est-il que la température moyenne a augmenté sur l’ensemble du globe, de sorte que les glaciers et les banquises polaires fondent à une vitesse inquiétante, et que le niveau des mers et des océans commence à s’élever. Sans parler de la multiplication des tempêtes, cyclones, inondations, feux de forêts et autres catastrophes naturelles.
La question qui se pose est de savoir pourquoi l’humanité en est arrivée là. D’une manière générale, c’est parce que l’économie s’est développée au détriment de l’écologie, et que la vie moderne a provoqué une rupture entre les hommes et la nature. Depuis ce que l’on appelle la «révolution industrielle», commencée à la fin du XVIIIe siècle, ils n’ont cessé d’exploiter leur environnement à outrance et d’en faire une source excessive de profits, ignorant ou feignant d’ignorer les dégâts parfois irréversibles provoqués sur lui. Ce sont évidemment les pays que l’on dit développés qui l’ont le plus dénaturé et qui, de ce fait, portent la plus grande part de responsabilité dans l’état actuel de la planète. Malheureusement, ils peinent à l’admettre et à réparer leurs erreurs.
Il devrait sembler évident à tous que si les pays dits sous-développés ou en voie de développement suivent le “modèle” des pays dits développés, notre planète n’y résistera pas, d’autant que la population mondiale ne cesse de croître de manière exponentielle, problème très préoccupant auquel, hélas, on n’accorde pas suffisamment d’attention. Les ressources naturelles de la Terre ne sont pas inépuisables, et les biens de consommation produits par les hommes, outre les pollutions diverses générées par leur fabrication, ne peuvent être partagées à l’infini. Nous devons donc changer radicalement notre mode de vie et mettre un terme à la culture consumériste qui prévaut dans de nombreux pays.
En raison de la crise économique et sociale que connaît le monde depuis plusieurs décennies, l’écologie a été totalement négligée par les gouvernements, soucieux avant tout de relancer l’économie, relance qu’ils associent quasiment tous à la croissance et à la consommation. Mais si la planète devient invivable en raison notamment du réchauffement climatique et de ses effets néfastes sur des centaines de millions de personnes, peut-être même sur des milliards, en quoi pourrons-nous nous satisfaire d’avoir restauré une économie florissante et un climat social apaisé ? Que dire également du coût des dégâts matériels provoqués par les intempéries dues à ce réchauffement, auquel s’ajoute malheureusement la mort d’un nombre de plus en plus grand de personnes ?
La plupart des spécialistes en la matière considèrent que nous ne disposons que de quelques années pour ralentir ce processus, avec, dans le meilleur des cas, la perspective de le stabiliser. C’est dire qu’il y a urgence ! Si aucune mesure concrète n’est prise sur un plan international, la situation va empirer à un rythme de plus en plus rapide et en produisant des effets de plus en plus destructeurs pour un nombre de plus en plus grand d’êtres humains. Des îles, des presqu’îles et des côtes continentales vont disparaître, ce qui entraînera des flux migratoires vers les terres a priori moins exposées. Ces millions de «réfugiés climatiques» s’ajouteront à ceux qui fuient leur pays en raison de la guerre et (ou) de la pauvreté, avec tout ce que cela implique pour eux en termes de déracinement et de souffrances, mais aussi de problèmes à résoudre pour les peuples qui, bon gré mal gré, les recevront.
Mais le réchauffement du climat n’est pas le seul danger qui menace la survie de l’humanité. Comme je l’ai rappelé précédemment, et comme vous le savez, les pollutions de toutes sortes et autres atteintes à l’environnement réduisent de jour en jour notre qualité de vie. De toute évidence, nombre d’individus n’ont pas encore compris et intégré le fait que si la survie de l’espèce humaine dépend de la Terre, la Terre n’a pas besoin de l’espèce humaine pour continuer à exister. Rappelons que notre planète s’est formée il y a environ 4,5 milliards d’années, et que les premières créatures vivantes sont apparues dans les océans il y a environ 4 milliards d’années. D’un point de vue strictement biologique, la disparition des êtres humains serait un énorme gâchis, car ils constituent une merveille de l’évolution, mais elle n’aurait aucune incidence sur l’existence de notre planète et encore moins sur l’univers.
Nous ne devons pas changer uniquement notre mode de vie ; nous devons changer également le regard que nous portons sur la nature, je pense en particulier aux animaux. Je ne m’étendrai pas sur ce sujet, car je l’ai traité dans une «Lettre ouverte aux animaux». Je me limiterai à dire qu’ils sont plus indispensables à notre vie que nous le sommes à la leur. Ils sont apparus sur Terre des centaines de millions d’années avant l’espèce humaine et, sauf apocalypse qui en ferait une planète définitivement morte, ils continueront à l’habiter pendant des millions d’années, que l’humanité y vive encore ou non. Quoi qu’il en soit, nous n’avons aucun droit sur eux, car ils ne sont pas et n’ont jamais été la propriété de l’humanité. En revanche, nous avons le devoir de les respecter, et même de les aimer.
L’écologie ne peut et ne doit pas être le “fief” de telle association ou de tel parti politique. Plus que jamais, elle est l’affaire de tous. Certes, les gouvernements ont une responsabilité majeure dans ce domaine, mais les citoyens ont également un rôle très important à jouer. Ils doivent s’impliquer individuellement et s’efforcer d’avoir un comportement respectueux à l’égard de la nature. Ne pas gaspiller l’eau, le gaz ou l’électricité, réduire autant que possible les déchets domestiques, recycler ce qui peut l’être, éviter l’usage des produits toxiques ou polluants, consommer raisonnablement, respecter les animaux…, sont autant d’attitudes que chacun peut adopter au quotidien et qui contribuent à préserver l’environnement. Si la majorité des êtres humains, tous pays confondus, consentaient à cet effort, la Terre pourrait se régénérer progressivement et redevenir un lieu privilégié où il ferait bon vivre pour tous.
L’Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix a toujours accordé une grande importance à l’écologie, au sens, non pas idéologique du terme, mais humaniste. Au cours de ces dernières années, il a publié plusieurs textes sur ce thème, l’un des plus marquants ayant été lu au Sénat du Brésil, en présence de nombreuses personnalités civiles et politiques, lors du Colloque qui s’est déroulé en juin 2012 dans le cadre de «Rio +20». Par ailleurs, dans la «Déclaration rosicrucienne des devoirs de l’Homme», publiée en 2005 dans plusieurs journaux et revues de premier plan, on peut lire notamment : «Tout individu a le devoir de respecter la nature et de la préserver, afin que les générations présentes et futures puissent en bénéficier sur tous les plans et voir en elle un patrimoine universel» ; idée reprise et développée dans l’«Appelatio F.R.C.», éditée en 2014.
Si, comme je l’espère, vous êtes conscients de la gravité de la situation sur le plan écologique, et si vous voulez bien manifester votre désir de contribuer à la préservation de la nature, je vous invite à souscrire, vis-à-vis de vous-même, à l’engagement ci-après. Il suffit pour cela d’inscrire vos nom, prénom et lieu d’habitation à l’endroit indiqué. Par cet acte symbolique, vous vous promettrez de vous impliquer davantage encore dans la protection de notre planète.
Dans les liens qui nous unissent à la Terre-Mère, je vous adresse mes pensées les plus fraternelles.
Serge Toussaint
Grand Maître
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Engagement individuel
Conscient(e) de la nécessité de s’impliquer individuellement dans la protection de l’environnement, je m’engage à faire de mon mieux pour donner l’exemple d’un comportement respectueux à l’égard de la nature et des animaux.
Nom Prénom, Ville, Pays
Toussaint, Serge, Le Neubourg, France
Bernard Christian, Le Neubourg, France
Bernard Hélène, Le Neubourg, France
Bauer Colette, Montigny-Lès-Metz, France
Delabriere Dominique – Landepéreuse – France
Boutel Jocelyne, Le Neubourg, France
Nanga Armand, Dakar, Sénégal
Rougeau,Sylvain,Bouffémont,France
Meledje Rohel E. Esther, Argenteuil, France
Vilar Nathalie, Geaune, France
Drapeau Pierre, Richelieu, Canada
Ladune Sandrine, Laigneville, France
Gaujard Raymond
Didier Gilles, Port-au-Prince, Haiti
Alfred Denis, St Hubert Québec Canada
Bouclet, Nadia, Kiel, Allemagne
Arevalo del Carpio Carlos, Nantes, France
Dorsan Pelage, Sainte-Rose, Guadeloupe
Robert, Jean-Marc, Orford, Canada
Riant Jean Guy, Le Tremblay, France
Lemieux, France, Godmanchester, Canada
Guay, Lyne, Québec, Canada
Fournier Louise Rimouski Québec Canada
Peter, Franky, Lome, Togo
Brassard, H.J., Montréal, Québec
Bagalciague Daniel, Hendaye, France
C. Alvarez Catherine, Stukely, Canada
Okimbi Odette, Noisy le sec, France
Fournier Louise, Rimouski, Québec
Ladune Michel, Laigneville, France
Bitumba Evelyne, Issy Les Moulineaux, France
Bitumba Mankoto, Issy Les Moulineaux, France
Walker Dominique, Baccarat, France
Anne-Marie Kritzler, Stuttgart, Allemagne
Bernard Edith
Acakpo-Addra Fabrice, Cormeilles en Parisis, France
Serrano Mario, Poitiers, France
Deterville Jean-Philippe, Le Tremblay Omonville, France
Frasca Patrice, Hyon, Belgique
Talbot Gilles, Hearst, Canada
Ardilley, William, Hourtin, France
Hus,Christian, Bomy, France
Glasner Claudine, Portiragnes, France
André Mithieux, Rivières, France
Sophie Blanco, Bordeaux, France
Müller, Francine, Staffelfelden, France
Maryse Dubuffet, Segard, Rueil Malmaison
Deremaux Jean-François, Libercourt, France
Martine Blanco Eline Corneilhan France
Rudolf Mathias, Strasbourg, France
Neveu Mary, Rose-Hill, Île Maurice
Vovard, Hadrien, Paris, France
Houceine Abd El Aziz et Malika
Guérin Sonia Maria Galizi/ Ribeirão Pires/SP/ Brésil
Guérin Alain Adrien/ Ribeirão Pires/SP/Brésil
Garneau, Jean-Roch, Ottawa Canada
Roger Cishugi, Kinshasa, Rd-Congo
Gual virginie, Bompas
Annaix Danièle, France
Annaix Frédéric, France
Rivasseau,J ean-Marc, Vendée, France
Dubé Christian, Ottawa, Canada
Burzawa-Caillard, Eric, Tournan en Brie, France
Chenard Florence, Québec, Canada
Dago Patricia, Abidjan, Côte d’Ivoire
Kuntz Eliane, Ingersheim, France
Croquet Sylvestre, Toulenne, France
Bernard Andrée, Meursault, France
Etelin Christine, Segreville, France
Gravini Jean Pierre, Biguglia Corse
Tourrette Loïc, Pibrac, France
Surcin Hélène, Alençon, France
Najafaly Mounir, Saint Pierre, La Réunion
Mielle Marylène, Tarsul, France
Caus Marie, Paris, France
Chemin Alexandre, Chaumont, France
Fallecker Jacques, Nice, France
Josique Guillaume, Bigarades, Rodrigues, Île Maurice
Corbeil, Jean Pierre, Wentworth-Nord, Québec, Canada
Kuntz Bernard, Ingersheim, France
Ngampika Nguissaliki, Timarli, Brazzaville, Congo
Beauboeuf, Claude, Port-au-Prince, Haïti
Pascoet Corinne, Toulon, France
Benezech, Monique, Le Neubourg, France
Kouagny Nafiessou, Olivier Desire
Guy Barillet, Rueil-Malmaison, France
Villedrouin Cassandra, Ottawa, Canada
Barbey, Denis, Bussigny, Suisse
Bariteau Monique, Arvert, France
Ntukanyagwe, Eric, Kigali, Rwanda
Immélé, Arnaud, Colmar, France
De Raulin Hervé, France
Guillot, Patrick, Houlgate, France
Boisvert, Ghislaine, Trois-Rivières, Canada
Joseph, Roseline, Rimouski, Canada
Moisan Marjolaine, Lévis (QC) Canada
Binate, Youssouf, Abidjan, Côte D’ivoire
Hangbe, Vital, Abomey, Bénin
Petit Magali, Revere, Massachusett
Depoorter Evelyne Angers, France
Novial Bruno, Marseille, France
Alvarez Eutiquio, Stukely, Canada
Hounyovi Wulfram Camille, Cotonou, Bénin
Yap Célestin Aimé, La Queue En Brie, France
Odjo, Judicaël, Cotonou, Bénin
Dennler Pascale, Thann, France
Micheline Carignan, Ottawa, Canada
Serra Gérald, Montréal, Canada
Madilian Félix, Paris, France
Joffre Jean François, Les Arques, France
Maltais, Jacqueline, Pointe-Lebel, Canada
Lucas Isabelle
Husseini Youssef, Ouagadougou, Burkina Faso
Vakoum Gohoré Sylvère
Benoit Emilien, Ile Maurice
Dossou-Yovo A. C. Aristide, Cotonou, Bénin
Koffi Kevin. J, Abidjan, Côte d’Ivoire
Zimmer Valérie, Poitiers, France
Randriamiarintsoa Tahiry, Antsirabe, Madagascar
Laval, Lionel, Igny, France
Courtial Claire, Bordeaux, France
Alvarez Eutiquio Stukely Canada
Cazaud B.
Béland, Nicole, Montréal, Canada
Bonnard Thierry, Nice Comté de Nice, France
Kone, Nouhoum, Bamako, Mali
Toussaint André, Normandie, France
Toussaint Christiane, Normandie, France
Devaux Sylvain, Le Neubourg, France
Pecetto Jacques, Le Bosc Roger en Roumois, France
Etongue Mayer, Joël, Yaoundé, Cameroun
Dubé Annette, Montmagny,Canada
Ouégnin Angele, Abidjan, Côte d’Ivoire
Rodriguez Roger, Toulon, France
Rodriguez Carmen, Toulon, France
Rodriguez Nathalie, Toulon, France
Cleyet-Marrel Félix, Toulon, France
Walcker, Lucien, Argenteuil, France
Diarrassouba, Abroulaye, Abidjan, Côte d’Ivoire
Nda Adou, Abengourou, Côte d’Ivoire
Kokolo, Nathan, Kinshasa, RDC
Parra Julien, Bours , France
Laurent Thierry, Le Loroux Bottereau, France
Kone Ismael, Abidjan, Côte D’Ivoire
Rodriguez Roger, Toulon, France
Lartigue Andre Parigny, France
Markstein Max, Mulhouse, France
Cazaud Béatrice, Nîmes, France
Mussamba Claudine, Kinshasa, R.D.Congo
Degboe, Prosper, Carlisle, Pennsylvania USA
Adjoualé Aby, Fontenay le Fleury, France
Mabikana Diallo, Paris, France
Sylvie Cabrera, Vulaines Sur Seine, France
Evano Francis, Bois Le Roi, France
Constelline, Normandie
Lebon Mathilde, Lyon, France
Olaechea, Sylvie, Montréal, Canada
Desuche Eveline, Nantes, France
Desuche Jean, Nantes, France
Richet, Nina, Paris, France
Dupuis Beauchamps Isabelle, Egly ,France
Jean, Jesper-Endieu, Port-De-Paix, Haïti
Sully Chritophe, Uniondale, New-York
Rastouil, Sébastien, Montpellier, France
Ine Toily Seraphin, Nuneaton, Royaume Uni
Beaulieu Marie Carmel, Jacmel, Haiti
Walcker Lucien, Argenteuil, France
Remery, Thierry, Genève, Suisse
Pasteur-Remery Amalia-Elena, Genève, Suisse
Heckmann Philippe –
Ouedraogo Saidou, Ouaga, Burkina Faso
Delimele Marie-Claude, Moissat, France
Binette Alain, Lachute, Québec Canada
Binette Thérèse, Québec, Canada
Gauvreau Yolande, Lachute ,Québec, Canada
Grenier Marie-Rose, Sherbrooke, Canada
Gadreau Nicole, Sherbrooke, Canada
Destin Djems, Port-au-Prince, Haiti
Gros-Louis, Yves, Wendake, Canada
Rivard Serge, Montréal, Canada
Serge Rivard, Montéal, Canada
Cassien Ndamanisha, Bujumbura, Burundi
Lafon Jean Pierre, Toulouse, France
Lafon Pierrette, Toulouse, France
Yeo Kassinibin Abidjan Côte D’ivoire
Nijean jannie, Fort de France, Martinique
Nijean octavius ,Fort de France ,Martinique
Adankpo Dakitche Darius, Lome, Togo
Petit Serge, Montréal, Canada
Ilboudo Victor, Ouagadougou, Burkina Faso
Ouellet Monet, Pointe-Lebel, Canada
Denis, Miko, Port-au-Prince, Haiti
Tremblay, Ninon, Brownsburg-Chatham, Qc, Canada
Poupart Ghislaine, Nantes, France
Pineau Annig Nantes France
Guinot Geneviève, Saint Maurice, France
Galdiolo Iole, Flourens, France
Berry Michèle, Emanville, France