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Channel: Evénements – Blog Rose-Croix, de Serge Toussaint
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A propos du bonheur

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Le bonheur est l’un des concepts qui ont été les plus commentés par les penseurs et les philosophes, et ce, depuis la plus haute Antiquité. De nombreux livres, traités et essais lui ont été consacrés au cours des siècles, les uns pour dire qu’il est (quasiment) inaccessible, les autres pour nous encourager à le rechercher, et même à le vivre. Quoi qu’il en soit, c’est un sujet, pour ne pas dire une préoccupation, qui interpelle et a toujours interpellé les êtres humains.

Qu’est-ce que le bonheur ? Quelle en est la source ? Comment y accéder ? Quels en sont les différents niveaux ? En quoi est-il à la fois un désir et un besoin ? Telles sont quelques-unes des questions auxquelles Serge Toussaint répond dans cet opuscule.

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Table des matières

Le bien-être matériel – L’argent – La santé – Le travail – Avoir une passion, un idéal – L’amour – La paix – La liberté – Le plaisir – La joie – L’âme humaine – L’optimisme – Le regard sur soi-même – Les relations avec les autres – La nature – Le sens de la vie – Les porte-bonheurs – Bonheur et karma.

> Lire des extraits (avant-propos et extraits de chapitres)

Éditeur : Diffusion Rosicrucienne (janvier 2016)
100 pages
ISBN 9787191-040-9


Télévision : Guadeloupe INFO1-ÈRE

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À l’occasion d’une Convention rosicrucienne tenue à Point-à-Pitre, une interview de Serge Toussaint a été diffusée sur Guadeloupe 1ère, le 9 avril 2016, lors du journal de 13h00 et de 19h30.

Appel des Rose-Croix à la non-violence

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Le 1er juillet  2011 – Année R+C 3364

APPEL DES ROSE-CROIX À LA NON-VIOLENCE

À tous les hommes et toutes les femmes de bonne volonté

Comme chacun sait, nous vivons dans une société de plus en plus violente, et le nombre d’assassinats, de crimes et d’agressions en tous genres ne cesse d’augmenter, avec son lot de victimes et de familles meurtries. Pris dans la tourmente, les écoles, les collèges, les lycées, les facultés et les universités, qui par nature devraient être des lieux paisibles et sécurisants, sont désormais le théâtre d’une violence quasi quotidienne, qui va du harcèlement au crime, en passant par le racket.

Malgré l’évidence du constat, certains idéologues continuent à dire que la société actuelle n’est pas plus violente qu’il y a quelques décennies, et que si elle semble l’être, c’est uniquement parce que les médias la mettent en exergue et l’utilisent pour alimenter leurs chroniques, sachant qu’elle est malheureusement un pôle d’intérêt plus ou moins morbide pour de nombreux lecteurs, auditeurs, téléspectateurs et internautes. De mon point de vue, cette vision des choses est erronée et s’apparente au mieux à une forme d’angélisme, au pire à une forme de complaisance irresponsable.

Face à cette montée généralisée de la violence, beaucoup de personnes s’interrogent sur les causes de cette situation à la fois dramatique et préoccupante. Nombre de raisons consensuelles sont évoquées, tant par les “citoyens de base” que par les “élites” : chômage, misère sociale, sentiment de frustration, impression d’insécurité, échec scolaire, etc. Certes, ce sont là des facteurs générateurs de violence, mais je pense que sa cause majeure réside dans la violence elle-même, telle qu’elle est exaltée à la télévision, au cinéma, sur internet et à travers les jeux vidéo.

Certains psychologues prétendent que la violence qui s’exprime à travers les films et les jeux vidéo est utile, en ce sens qu’elle permettrait aux personnes qui les regardent ou les utilisent d’exprimer et d’exorciser la violence que tout être humain possède à l’état latent, leur évitant ainsi de passer à l’acte. En ce qui me concerne, il est évident que cette violence virtuelle ne fait qu’entretenir, développer et banaliser celle qui sévit dans la société, à tel point que certains crimes et délits s’inspirent de scènes vues sur le “petit” ou le “grand” écran. Prétendre qu’elle sert d’exutoire est un non-sens absolu.

Pour éradiquer la violence, il ne suffit pas de lutter contre les inégalités, les discriminations, les frustrations, les échecs, etc. Il faut également faire en sorte qu’elle ne soit plus aussi présente dans les films et autres supports audio et vidéo. Certes, nul n’est obligé de regarder ce genre de films ou de s’adonner à des jeux violents, mais dès lors qu’ils sont proposés au grand public, on doit bien se douter que des milliers, voire des millions de personnes (adultes, adolescents et enfants) le feront, avec tout ce qui en résulte de négatif pour eux-mêmes et la société en général.

Que faire pour que la violence soit moins présente à la télévision et au cinéma ? L’idéal serait que les programmateurs, les producteurs, les réalisateurs, les acteurs et autres personnes impliquées prennent conscience qu’ils contribuent à l’exalter et à la banaliser, et que chacun d’eux cesse de le faire à son niveau. Hélas, la violence est devenue un produit marketing qui profite financièrement à tous ceux qui la mettent en scène. Pour qu’elle disparaisse des écrans, il faut donc faire en sorte qu’elle soit moins “consommée”, notamment par les jeunes. Cela pose naturellement tout le problème de l’éducation.

Les choses étant ce qu’elles sont, force est de constater que la violence est devenue une culture qui s’étend désormais à tous les pays et tous les milieux sociaux. Fondée sur la loi du plus fort ou du plus puissant, elle prend des formes diverses et s’attaque aussi bien aux corps qu’aux esprits. Qu’elle soit physique ou psychologique, elle est plus que jamais une atteinte à la dignité et à l’intégrité de la personne humaine. Tel un cancer, elle ronge le corps social et l’affaiblit, non sans provoquer des tensions et des réactions sécuritaires préjudiciables au « Vivre ensemble».

Pour mettre un terme à cette culture de la violence, il n’y a pas d’autre solution que de promouvoir une culture de la non-violence, ce à quoi les Rose-Croix se sont toujours consacrés depuis leur émergence au XVIIe siècle. Et quoi qu’on en dise, c’est avant tout aux parents de le faire. Certes, les enseignants doivent également se sentir concernés, mais leur rôle premier est d’instruire et non pas d’éduquer. Si l’on se décharge autant sur eux pour assumer l’éducation des enfants et des adolescents, c’est malheureusement parce que nombre de parents ont démissionné dans ce domaine ou n’ont plus les repères voulus.

Par définition, l’instruction consiste à transmettre des connaissances en vue de contribuer à la culture générale des enfants, puis à préparer les adolescents à entrer dans le monde professionnel. Quant à l’éducation, elle a pour but de leur inculquer des valeurs civiques et éthiques, pour ne pas dire morales, et à travers elles le respect que l’on doit manifester aux autres, que ce soit dans le cadre familial, dans le milieu scolaire, ou dans l’environnement social. Parmi ces valeurs, il y a notamment ces qualités que sont la patience, le courage, la tolérance, l’honnêteté, la générosité, et naturellement la non-violence.

Pour inculquer la non-violence à leurs enfants, la première chose à faire pour les parents consiste à leur donner l’exemple d’un comportement non-violent, tant au sein de la cellule familiale qu’à l’égard des personnes qu’ils côtoient ou rencontrent dans leur vie sociale. Cela suppose pour eux de se montrer aussi calmes et paisibles que possible au quotidien, et de s’évertuer à réagir tout aussi calmement et paisiblement en cas de provocation, voire même d’agression. Certes, cela nécessite, sinon une certaine maîtrise de soi, du moins la volonté de se maîtriser lorsque cela est nécessaire. Mais l’enjeu n’en vaut-il pas la peine ?

Donner l’exemple d’un comportement non-violent ne suffit pas pour éveiller les enfants à la non-violence. Il faut aussi que les parents, et les adultes en général, condamnent la violence sous toutes ses formes, y compris verbale et écrite, comme c’est le cas à travers les “réseaux sociaux”. Il faut également qu’ils ne la cautionnent pas. Compte tenu de ce que j’ai dit précédemment au sujet des films violents, cela implique qu’ils ne laissent pas leurs enfants les regarder, mais qu’eux-mêmes ne les regardent pas. Dans le même ordre d’idée, cela suppose qu’ils ne se livrent pas à des activités violentes, et dissuadent leurs enfants de le faire.

Puisque la violence est un vecteur de désagrégation sociale, et puisque la non-violence fait partie des vertus que l’éducation devrait inculquer, permettez-moi de rappeler les paroles de Platon, à l’aube du déclin de la civilisation grecque : « Lorsque les pères s’habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu’ils ne reconnaissent plus au-dessus d’eux l’autorité de rien ni de personne, alors, c’est là en toute beauté et en toute jeunesse le début de la tyrannie. »

Comme c’était le cas pour les idées exprimées dans l’« Appel à la tolérance » lancé le 1er septembre 2010, toujours en ligne sur ce blog, celles que je viens de partager avec vous doivent sembler évidentes à la plupart d’entre vous. Néanmoins, si vous voulez les soutenir plus ouvertement, je vous propose d’inscrire vos nom et prénom à la suite de cet « Appel à la non-violence », et éventuellement la ville et le pays où vous résidez. Si vous connaissez des personnes susceptibles d’y adhérer, n’hésitez pas à le leur faire connaître. Comme vous l’aurez compris, le but de cet Appel est d’exprimer notre désir de contribuer individuellement et collectivement à l’avènement d’une culture de la non-violence, condition pour que la société s’apaise et se régénère, dans l’intérêt de tous et de chacun.

Avec mes meilleures pensées.

Fraternellement.

Serge Toussaint
Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

ENGAGEMENT INDIVIDUEL

Conscient de la nécessité d’œuvrer à l’avènement d’une culture de la non-violence, je m’engage, vis-à-vis de moi-même, à faire tout mon possible pour éviter toute violence dans mon comportement et ne pas la cautionner, sous quelque forme que ce soit.

> Lire l’original de ce texte en Pdf

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Liste des inscrits :

Toussaint Serge, Le Neubourg, France
Bernard Christian, Le Tremblay, France
Bernard Hélène, Le Tremblay, France
François Mallet, France
Westerling Hans, Gooik, Belgique
Robert Jean, Magog, Canada
De La Maria Antonio, Recife, Brazil
Bauer Colette, Montigny-Lès-Metz, France
Catherine Clément, Bar-Le-Duc, France
Gauthier Marie-Odile, Blois, France
Cassen Lionel, Nouméa, Nouvelle Calédonie
Renaud Nicole, Québec, Canada
Walker Dominique, Baccarat, France
Bergeron André, Varenne, Canada
Lunazzi Serge, Montpellier, France
Kritzler Anne-Marie, Stuttgart, Allemagne
Yao Attiman Delmas, Abidjan, Côte d’Ivoire
Gros-Louis Yves, Wendake, Canada
Delabrière Dominique, Landepéreuse, France
Archambaud Luce, Montréal , Canada
Tidona Hervé,
Pouille Catherine, Lille, France
Lesburguères Françoise, Lille, France
Surcin Hélène, Alençon, France
Dejean de la Batte Anne, Villeneuve-sur-Yonne, France
Lunazzi Marie-Claude, Montpellier, France
Sarlat Pierre, Paris, France
Cadeau Françoise, Angers, France
Hubert Elisabeth, France
Pierre Drapeau, Richelieu, Canada
Cauchy Eric, La Louvière, Belgique
Mayer Joël, Yaoundé, Cameroun
Dubois Dominique, St-Etienne-Les-orgues, France
Deppen, Pierre-André, Corbeyrier, Suisse
Deppen Ursula, Corbeyrier, Suisse
Béland Nicole, Montréal, Canada
Madilian Félix, Paris, France
Dorsan Pelage, Sainte-Rose, Guadeloupe
Guiriaboye Marlaine, Sainte-Rose, Guadeloupe
Ujma Gabrielle, Pfastatt, France
CIairembault Dominique, Le Tremblay, France
Ujma Jean-Pierre, Pfastatt, France
Bernard Claude, Paris, France
Bernard Arnaud, Paris, France
Lefort Huguette, Dunkerque, France
Doyon Thérèse, Ste-Thérèse, Canada
Bariteau Monique, Arvert, France
Schwartz Michel, France
Bigoin Michel, Les Baux Ste Croix, France
Stefano Sau, Cagliari, Italie
Brassard Hélène, Montréal, Canada
Affognon Serge Christian, Libreville, Gabon
Giuffré Monica, Ornano Grande, Italie
Lelièvre Marie-Noëlle, St Avold, France
Leroux Philippe, Paris, France
Marina Morale, Siracusa, Italie
Michelangelo Burò, Siracusa, Italie
Nelzin Malou, France
Brafine, Jean-Baptiste, Marseille, France
Sadreux Jacques, Melun, France
Sadreux Hélène, Melun, France
Sadreux Xavier, Paris, France
Sadreux Béatriz, Paris, France
Ndamanisha Cassien, Bujumbura, Burundi
Nelzin Malou, Gosier, Guadeloupe
Husseini Youssef, Ouagadougou, Burkina Faso
Dumartin Matthieu, France
Weissbrodt Denise, Lausanne, Suisse
Greck Alain, Ste Luce – Martinique, France
Blanchard Jacques, Montréal, Canada
Blanchard Jeanne d’Arc, Montréal, Canada
Leroux Marie, Paris, France
Goncharuk Vera, Novosibirsk, Russie
Papillon Claude, Lachute QC, Canada
Rajkovic Sylvie, Punaauia, Tahiti
Breton Serge, Changé, France
Leger Bruno, Le Neubourg, France
Inza Ouattara, Abidjan, France
Ilya Zilberfarb, Bourbon l’Archambault, France
Camy Yann, Saint Julien de Lampon, France
Joessel Isabelle, Lausanne, Suisse
Huret Jacqueline, France
Cossette Réjean, Trois-Rivières, Canada
Sanchez José, France
Girouard Murielle, Victorialville, Canada
Malot Daniel, Camaret sur Mer, France
Godin Sylvie, Le Neubourg, France
Chaussonnet Maguy, Frontignan, France
Cazaud Béatrice, Nîmes, France
Uytenbogaardt Catharina, Frontignan, France
Antoine Isabelle, Montpellier, France
Thomas Bénédicte, Saint Julien en Genevois, France
Ouchard Francine, Montréal, Canada
Bernard Edith, Le Neubourg, France
Devaux Sylvain, Le Neubourg, France
Allievi Annick, Saint-Avold, France
Cosse Danièle, Nice, France
Fulchiron Roland, La Tour d’Aigues, France
Ufnal Morgane, Sarzeau, France
Belières Catherine, Nice, France
Lagedamont Daniel, Nice, France
Monvoisin François, Nice, France
Cray Bernadette, Avignon, France
Paoli Patricia, Cogolin, France
Aubert Nelly, Avignon, France
Robert Pierre, Fréjus, France
Giès Alexandra, Lille, France
Besnard Gilbert, Ploemeur, France
Vaisse Isabelle, Barbentane, France
Inza Ouattara, Abidjan, Côte d’Ivoire
Cortada Joseph, Reims, France
Desfarges Jean-Michel, Chargey-les-Gray, France
Herrada Suzy, La Garde, France
Lavallée Lucie, Québec, Canada
Boucher Roger, Quebec, Canada
Robert Martine, Fréjus, France
Fernandez Didier, Le Cap D’Agde, France
Bouclet, Nadia, Paris, France
Danczak Christiane, Morigny-Champigny, France
Tourrette Loïc, Pibrac, France
Stival Pierre Saint-Hubert, Québec, Canada
Verrier Pierre, Colombes, France
Philippe Josette, Roquefort, France
Jacquot Claudine, Roquefort, France
Bourdeau Dominique, Souppes sur Loing, France
Guay, Jean-Paul, Amqui, Qc, Canada
Cambier Pol, Framont, Belgique
Küffer Véronique, Aigle, Suisse
Bénézech, Monique, Le Neubourg, France
Malpertuy, Jacques, Toulon, France
Lemmens Gérard, Saint Pierre, La Réunion
LegrosMichelle, Saint Pierre, La Réunion
Bertrand Godin, Monaco
Rodrigez Carmen, Toulon, France
Rodrigez Roger, Toulon, France
Rodrigez Nathalie, Toulon, France
Grillet Jean-Louis, Saint Marcellin en Forez, France
Mbuyu Yohe, Framingham, USA
Bénézech Jean, Le Neubourg, France
Bénézech Janine, Le Neubourg, France
Garneau Jean-Roch, Kanata, Ontario, Canada
Carignan Micheline, Kanata, Ontario, Canada
Rougeau Sylvain, Bouffémont, France
Rufin Guy-Albert, Fort-de-France, Martinique
Rodrigues Liliane, St-Genès-Champespe, France
Rossignol Christian, Avignon, France
Immélé Arnaud, Ostheim, France
Lassieur Françoise, Genève, Suisse
Okomba Emile, Fontenay-Aux-Roses, France
Sablin Etchekan Séverin, Abidjan, Côte d’Ivoire
Mielle Marylène, Tarsul, France
Sita Mana Less, Johannesburg, Afrique du Sud
Gaujard Daniel, Aulnay-sous-bois, France
Dhee Michèle, Le Tremblay, France
Guay Lyne, Québec, Canada
Barbey Denis, Bussigny-près-Lausanne, Suisse
Saboul Michel, Nantes, France
Bourdeau Didier, France
Rellier Valérie, Laval, France
Froger Robert, Caen, France
Brasseur Myriam, Périgueux, France
Aza Gnandji Patrice, Abidjan, France
Genoude Lucienne, Cannes, France
Rothdiener Olivier, Vence, France
Flochon Denis, Namur, Belgique
Nalbach Myriam, Vérone, Italie
Vidal, Maryelle, Mérignac, France
Kernaonet Michel, Paimpol, France
Kernaonet Anne, Paimpol, France
Boisvert Ghislaine, Trois-Rivières, Canada
Karadag Pinar, Ile-de-France, France
Chevet Guy, Longueil Sainte Marie, France
Paciaga Christian, Orléans, France
Abotsi Néfertiti
Urbain, Jean-Claude, Magny, France
Le Parc Marie-Thérèse, Paimpol, France
Van Melle Geneviève, Bruxelles, Belgique
Barthélemy Jean-Marie, Bordeaux France, France
Barthélemy Marie-France, Bordeaux France, France
Laval Lionel, Igny, France
Joly Alain, Ponteilla, France
Micheline Canion, Gujan-Mestras, France
Hussenot Marie-Claire, Bar-Le-Duc, France
Laurent Ferrero, Laragne, France
Rudolf Mathias, Toulon, France
Bernard Yann, Montréal, Canada
Lariviere Laurence, Montreuil, France
Legay Josiane, Epinal, France
Cadeau Françoise, Angers, France
Marie-Hélène Vergereau, Montpellier, France
Olivier Igugu, Bukavu, R.D.Congo
Bouguet Danielle, France
Valla-Tiberghien Colette, Sainte Florence, France
Chapoutot Christine, Nice, France
Guibert Jacques, Grand-Lancy, Suisse
Heran Arlette, Elne, France
Hermitte Stéphane, Tarbes, France
Hermitte Manuel, Elne, France
Hermitte Myriam, Elne, France
Hermitte Sara, Toulouse, France
Sarges Gilles, Cugnaux, France
Billot Marie-José, Lyon, France
Perel André, Mulhouse, France
Laurence Garcia, Talence, France
Osacar Stelle, France
Coralie Marie-Georges, France
Piejos Florence, Strasbourg, France
Moreau Nicole, Morcenx, France
De Cruz Joëlle habitant, Sainte Anne, (Guadeloupe)
Plane Anne-Marie, Montpellier, France
Bonlarron Jean-Marc, Lalbenque, France
Guesdon Michèle, Montigny, le Bretonneux, France
Anne Charles, Chonburi, Thailande
Christian Belieres, Paris, France
Harou Ganda, N’Djamena, Tchad
Dessertaine Christian, Cologne, Allemagne
Carayol Christine France, Montpellier, France
Robert, Pierre, Frèjus, France
Piens Michel, Santiago, Rép. Dominicaine
Villaumé Marie Antoinette, Toulouse, France
Villaumé Laurent, Toulouse, France
Schweizer Myriam, Vaulion, Suisse
Mudumbi Chito Guillaume, Lubumbashi, Rép. Dém. du Congo
Coralie Marie-Georges, Martinique
Ramalanjaona Jean Désiré, Antananarivo, Madagascar
Maugy Joël, France
Elise Makale Elong, Douala, Cameroun
Amoikon Kouadio Jean, Abidjan, Cote d’Ivoire
Deborah Clara, Goigoux, France
Pizzardini Marc, Antibes, France
N’Goran Kouassi Joseph, Côte d’Ivoire
Balaguer, Alain, Massy, France
Tercé Hélène, Saint-Gilles- les-Bains -La Réunion, France
Musslin Xavier, Toulouse, France
Zickou Yolande, France
Castagno Andrée, Vénissieux, France
Godefroy Ingrid, Cherbourg, France
Chantal Angogna, Saint Jean de Maurienne, France
Quinault Michel, France
Quinault Monique, France

> Suite

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Charte des citoyens du monde

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Publiée en date du 8 janvier 2015, cette charte, placée sous l’égide de l’Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix, est une invitation à penser, parler et agir en tant que citoyens du monde, au-delà de toute idéologie politique.

Si vous souhaitez y souscrire, il vous suffit d’inscrire vos nom et prénom dans la rubrique concernée et, si vous n’y voyez pas d’inconvénient, la ville et le pays où vous résidez. Le nécessaire sera fait pour que vous figuriez sur la liste.

Naturellement, vous pouvez proposer à des personnes de votre connaissance de souscrire également à cette charte.

> S’inscrire

À l’aube du XXIe siècle, la Terre s’apparente désormais à un seul pays, en ce sens que les moyens de transport et de communication permettent à ses habitants de se rencontrer et d’échanger au-delà des distances qui les séparent. En quelques heures d’avion, ils peuvent désormais se rendre à l’autre bout du monde. Grâce à Internet, il leur est possible d’entrer en contact avec des personnes résidant aux antipodes. Les frontières géographiques sont devenues plus virtuelles que réelles, de sorte que la notion de citoyens du monde n’est plus une vue de l’esprit, mais un état de fait. À cela s’ajoute un accroissement des métissages ethniques et religieux sur l’ensemble de la planète.

Que l’on y soit favorable ou non, la mondialisation va dans le sens de l’Histoire. Depuis leur apparition sur Terre, les êtres humains ont toujours cherché à étendre leur champ d’action et à connaître de nouveaux horizons : d’une tribu à l’autre ; d’un village à l’autre ; d’une ville à l’autre ; d’une région à l’autre ; d’un pays à l’autre ; d’un continent à l’autre. C’est là un processus naturel qu’il est impossible de réfréner, car il s’inscrit dans l’évolution de l’humanité. Au-delà des apparences, il est un vecteur de rapprochement entre les peuples, et donc de paix. Plutôt que de le craindre, il est préférable de l’accompagner et de faire en sorte qu’il contribue au bien-être d’un nombre croissant d’individus.

Sous l’effet de la crise politique, économique et sociale que traversent nombre de pays, nous constatons une tendance à l’individualisme, au communautarisme et au nationalisme. C’est là une attitude “instinctive” que l’on peut comprendre, mais qui, au mieux, ne résoudra qu’à court terme les problèmes et les difficultés que rencontrent les individus, les communautés et les nations concernés. Étant donné que cette crise est mondiale, elle doit être surmontée d’une manière globale, c’est-à-dire en privilégiant l’intérêt de tous les citoyens du monde. Cela suppose que chacun, tant parmi les gouvernants que les gouvernés, pense, non pas en tant qu’habitant de tel ou tel pays, mais en tant que membre de la Fraternité humaine.

Si vous partagez ce point de vue, nous vous invitons à souscrire à cette charte, étant entendu qu’elle n’a aucun caractère politique. Son but est simplement de mettre en évidence des attitudes, des comportements, des valeurs et des idéaux qui, selon nous, favorisent les bonnes relations entre tous les êtres humains. Nous pensons en effet qu’être citoyen du monde, c’est :

  • se sentir concerné par le bien-être de tous les peuples et de toutes les nations ;
  • considérer comme une évidence qu’aucune ethnie, aucune race, aucune nationalité, aucune communauté n’est supérieure à une autre ;
  • partir du principe que les destins de tous les pays et de tous les citoyens du monde sont intimement liés ;
  • se réjouir des moments heureux que les autres nations peuvent connaître, et compatir aux épreuves qu’il leur arrive de traverser ;
  • comprendre et admettre que le pays où l’on naît n’est pas nécessairement celui où l’on doit vivre par la suite ;
  • encourager la coopération, l’entraide et la fraternité entre les peuples et les nations ;
  • ne pas monopoliser les ressources naturelles qui se trouvent dans son pays, et ne pas convoiter celles qui existent dans les autres ;
  • considérer la mondialisation, non pas comme un danger ou une menace, mais comme une opportunité de progrès économique et social pour tous les pays ;
  • ne pas chercher à imposer aux autres ses idées politiques ou ses croyances religieuses, mais en faire un objet d’échange et un vecteur de tolérance ;
  • voir en tout être humain une extension de soi-même, et dans l’humanité une seule et même famille d’âmes ;
  • se faire un devoir de respecter la nature et de la préserver pour les générations futures.

> Charte des citoyens du monde-web (PDF)

8 janvier 2015

Année R+C 3367

Plaidoyer pour une écologie spirituelle

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Dans cet opuscule, Serge Toussaint explique en quoi la Terre n’est pas uniquement une planète permettant aux êtres qui la peuplent de vivre, mais sert également de cadre à leur évolution spirituelle et s’inscrit par conséquent dans un Plan que l’on peut qualifier de «divin».

serge-toussaint-plaidoyer-ecologie-spirituelle

> Lire des extraits

Diffusion Rosicrucienne
113 pages
ISBN : 978-2-37191-050-8
Octobre 2016

Connaissez-vous l’Ordre de la Rose-Croix ?

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Connaissez-vous l’Ordre de la Rose-Croix ? Considéré jadis comme une société secrète, il est aujourd’hui reconnu d’utilité publique dans plusieurs pays en raison de sa contribution à la culture, l’éducation et la paix.

Spiritualiste mais non religieux, humaniste mais apolitique, ouvert aux hommes comme aux femmes sans discrimination, cet Ordre ésotérique perpétue un enseignement qui s’adresse à celles et ceux qui sont en quête de bien-être, de connaissance et de sagesse.

Si vous aspirez à mieux vous connaître vous-même, à mieux comprendre le sens profond de l’existence, à mieux maîtriser votre vie, la philosophie rosicrucienne peut répondre à votre attente et contribuer à faire de vous un authentique Initié.

En cette période troublée où le monde devrait s’ouvrir à davantage d’humanisme et de spiritualité, il m’a semblé important et utile de vous transmettre ce message.

En savoir plus sur l’Ordre de la Rose-Croix

connaissez-vous-l-ordre-de-la-rose-croix

Spiritualité, humanisme, écologie : Rencontre entre JiCi Lauzon et Serge Toussaint

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Au cours de cette rencontre, JiCi Lauzon, acteur et réalisateur québécois, mais aussi chroniqueur à Radio Canada, échange avec Serge Toussaint, Grand Maître de l’Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix, sur des questions liées plus particulièrement à l’écologie, dans une approche plutôt spiritualiste.

Voir le document évoqué dans cette vidéo

A l’aube de l’année 2017…

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Chers membres et amis de l’A.M.O.R.C.,

Alors que l’année 2017 se lève sur le monde, je souhaite de tout cœur que sa lumière vous apporte joie, santé, prospérité et réussite sur tous les plans.

Ces souhaits s’étendent naturellement à tous ceux qui vous sont chers, tant je sais que vous ne souhaitez que leur bonheur.

En guise de vœux pour l’humanité, j’aimerais partager avec vous une chanson de Gérard Palaprat intitulée « S’aimer davantage ». Cette chanson magnifique (comme beaucoup parmi celles qu’il a composées et chantées) est véritablement un hymne à l’Amour universel. Elle date de 1982, ce qui explique les petits « craquements » de la version vinyl.

Avec mes pensées les plus cordiales.

Serge Toussaint


Appel à la tolérance

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Le 1er septembre 2010 – Année R+C 3363
Actualisé le 1er mai 2017 – R+C 3370

APPEL À LA TOLÉRANCE
À tous les hommes et toutes les femmes de bonne volonté.

Comme chacun peut le constater, l’humanité va mal et se déchire dans des divisions de tous ordres. Outre la crise financière, économique et sociale à laquelle elle est confrontée depuis plusieurs années, elle est en proie à nombre de tensions, de conflits et de guerres dont la plupart ont leur origine dans une faiblesse majeure de la nature humaine : l’intolérance. Cela laisse supposer que si la majorité des êtres humains faisaient preuve de tolérance dans leurs jugements et dans leur comportement, le monde irait beaucoup mieux et s’en trouverait considérablement apaisé, ce que chacun devrait souhaiter.

Mais qu’est-ce que la tolérance ? D’une manière générale, c’est l’aptitude à respecter les idées qui sont différentes des nôtres et même qui s’y opposent, et ce, dans tous les domaines : religieux, politique, culturel, artistique, etc. Je pense que le meilleur moyen de nous montrer tolérants dans la vie courante est de reconnaître que nous sommes imparfaits, que nous ne savons pas tout, et que nous sommes sujets à l’erreur. Cela n’est pas facile, car nous avons tous un ego, et celui-ci, en raison même de sa nature, nous incite généralement à croire que nous sommes, sinon parfaits, du moins bien meilleurs que nous ne le sommes. C’est également sous son influence que nous avons tendance à considérer que nous avons raison de penser, de dire et de faire ce que nous pensons, disons et faisons en telle ou telle circonstance.

L’un des domaines où l’intolérance crée le plus de dommages est la religion. Combien de crimes et de guerres a-t-elle générés au cours de l’Histoire ? Combien de divisions, de disputes et de fâcheries a-t-elle causées dans les familles ou entre amis ? Et malheureusement, il en est toujours ainsi. Pourtant, aucune religion n’a le monopole de la Foi, et aucune ne connaît la Vérité. Si Moïse, Bouddha, Jésus, Mahomet et autres messies ou prophètes du passé revenaient sur Terre, il ne fait aucun doute qu’ils condamneraient toutes les formes d’intégrisme et de fanatisme auxquels les religions, qui sont respectables en elles-mêmes, ont donné naissance au cours des âges. Et si Dieu existe, au sens qu’elles Lui donnent à travers leur credo respectif, Il est le même pour tous. Dès lors, comment penser qu’Il puisse soutenir ou cautionner la malveillance, la rancœur et la haine ?

S’il est essentiel que les dirigeants et les fidèles de toutes les religions se montrent tolérants les uns envers les autres et se considèrent mutuellement comme des croyants plutôt que comme des fidèles de tel ou tel culte, il faut également qu’ils respectent tous ceux qui ne croient pas en Dieu et ne mènent aucune quête religieuse ou spirituelle. Inversement, ces derniers doivent comprendre et admettre que l’on puisse être croyant et puiser dans la Foi, sinon une raison de vivre, du moins un idéal de vie. Malheureusement, comme c’est le cas de la religiosité, l’athéisme génère parfois des comportements intégristes, notamment lorsqu’il est militant et qu’il dévoie la laïcité à des fins laïcistes.

La politique est également un domaine où règne l’intolérance, avec tout ce qui en résulte en termes de tensions, de divisions, d’oppositions, de rivalités, etc, non seulement entre les citoyens d’un même pays, mais également entre les nations. Si tel est le cas, c’est parce que chacun projette en elle son vécu, ses pulsions, ses frustrations, ses convictions, ses aspirations, ses angoisses, etc. Mais là encore, aucun parti ni aucun système, aussi démocratique soit-il, ne détient la Vérité à l’exclusion des autres, d’où la nécessité de dialoguer, d’échanger et de puiser dans des points de vue différents une opportunité de remettre les nôtres en cause. En cela, le sectarisme politique est tout aussi destructeur que le sectarisme religieux, notamment lorsqu’il se confond avec le pouvoir.

Dans tous les pays, la plupart des gens aspirent à la paix, car ils savent, au plus profond d’eux-mêmes, qu’elle est indissociable du bien-être et du bonheur qu’ils recherchent. Mais celle-ci correspond à un état idéal qui ne peut être atteint que si chacun exprime le meilleur de lui-même, c’est-à-dire manifeste autant que possible les qualités les plus positives dont l’être humain est capable. La tolérance est l’une des plus importantes, ce qui fit dire à Nicolas Roerich (1874-1947), peintre et écrivain rosicrucien de renommée internationale, promoteur d’une «culture de la paix»:«Nous pouvons être de véritables coopérateurs de l’Évolution. En cela, la connaissance véritable est basée sur la tolérance réelle ; de la tolérance réelle vient la compréhension absolue ; de la compréhension absolue naît l’enthousiasme pour la paix, qui éclaire et purifie».

Naturellement, il n’y a pas que dans les domaines de la religion et de la politique qu’il faut s’employer à être tolérant. Chaque jour, nous sommes amenés à discuter avec d’autres personnes sur des sujets divers, que ce soit dans le cadre de notre vie familiale, de notre activité professionnelle, de nos relations sociales et amicales, etc. Au cours de ces discussions, des idées, des opinions et des avis différents et même opposés sont nécessairement émis. C’est précisément en de telles circonstances que nous devons savoir faire preuve d’ouverture d’esprit et de tolérance. Cela implique d’échanger avec nos interlocuteurs, sans vouloir absolument les convaincre que nous avons raison ou, ce qui revient au même, qu’ils ont tort. Et si nous sommes en désaccord avec eux, sachons leur expliquer pourquoi, calmement et sans agressivité.

Une remarque s’impose néanmoins : la tolérance ne consiste pas à tout tolérer. En effet, il y a des situations, des attitudes, des comportements, des propos, etc., qui sont intolérables. D’une manière générale, il en est ainsi de tout ce qui porte atteinte à la personne humaine et à la nature. L’accepter ou s’y résoudre ne relève pas de la sagesse, mais de la faiblesse, voire de la lâcheté. À titre d’exemples, le racisme comme la xénophobie ne doivent pas être tolérés, pas plus que l’esclavage et la tyrannie. Il en est de même des mauvais traitements infligés aux animaux et des ravages causés à l’environnement. Être tolérant, ce n’est donc pas être laxiste, permissif ou libertaire. Ceci doit vous sembler évident ; il est donc inutile d’insister davantage sur ce point.

L’Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix, connu pour sa contribution à la culture et à la paix entre les peuples, a toujours eu pour devise : « La plus large tolérance dans la plus stricte indépendance ». En application de cette devise, il compte parmi ses membres des Chrétiens, des Juifs, des Musulmans, des Bouddhistes, des Hindouistes, etc., mais aussi des personnes qui ne suivent aucune religion particulière. De même, les Rosicruciens diffèrent par leurs opinions politiques, qui sont parfois opposées, sans que cela ne pose problème entre eux. S’il en est ainsi, c’est précisément parce qu’ils respectent le droit à la différence et s’évertuent à être tolérants les uns envers les autres. Ce qui est possible au sein d’une fraternité comme l’A.M.O.R.C. doit l’être également au niveau de l’humanité. Il s’agit essentiellement d’une question de volonté individuelle et collective.

Nous savons tous que notre planète est devenue un seul pays, et il paraît évident que les êtres humains sont appelés de plus en plus à se mêler, pour ne pas dire à se mélanger. Il s’agit d’un processus naturel qui s’inscrit dans l’évolution de l’humanité. Sous l’effet de ce processus, qui s’est accentué au cours des dernières décennies et qui ira en s’intensifiant, les races, les nationalités, les cultures, les religions, les partis politiques, etc., vont devoir coexister et même coopérer dans l’intérêt de tous et de chacun. Si nous voulons que cette coopération se fasse harmonieusement et paisiblement, nous devons la placer sous les auspices de la tolérance et cultiver en nous le désir de nous comporter véritablement comme des citoyens du monde.

Certes, ces quelques réflexions n’ont rien d’original en elles-mêmes, mais si vous les partagez et si vous souhaitez les soutenir, je vous invite à souscrire à cet «Appel à la Tolérance» en vous engageant personnellement, vis-à-vis de vous-même, à faire tout votre possible pour vous montrer tolérant(e) dans vos relations avec autrui. Dans ce cas, inscrivez vos nom et prénom sur ce blog, dans la rubrique concernée, ainsi que la ville et le pays où vous résidez si vous n’y voyez pas d’inconvénients. Le nécessaire sera fait pour que vous figuriez sur la liste des signataires. Naturellement, vous pouvez proposer à des personnes de votre connaissance de le faire également. Ensemble, nous manifesterons ainsi notre volonté d’œuvrer à l’avènement d’un monde où la tolérance n’aura d’égal que le désir d’instaurer l’unité dans la diversité, prélude à l’émergence d’une nouvelle humanité.

Dans les liens qui nous unissent au-delà de nos différences, recevez mes meilleures pensées.

Fraternellement.

Serge Toussaint
Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

ENGAGEMENT INDIVIDUEL

Sachant que la tolérance est un vecteur de compréhension mutuelle et de fraternité, je m’engage, vis-à-vis de moi-même, à faire tout mon possible pour respecter les autres, familiers ou « étrangers », et me montrer tolérant(e) à leur égard.

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Liste des inscrits

Toussaint Serge, Le Neubourg, France
Bernard Christian, Le Tremblay, France
Bernard Hélène, Le Tremblay, France
Dubois Dominique, Saint-Geniez, France
Fuma Sully, Le Tampon, France
Fuma Madeleine, Le Tampon, France
Fuma Laureline, Le Tampon, France
Bauer Colette, Montigny-Lès-Metz, France
Gilles Didier, Port-au-Prince, Haïti
Sadreux Beatriz, Paris, France
Lapage Patricia, Bruxelles, Belgique
Godin Sylvie, Le Neubourg, France
Delabrière Dominique, Le Tremblay, France
Winzer Henri, Graveron-Sémerville, France
Sadreux Laure, Charenton le Pont, France
Sadreux Xavier, Paris, France
Carnot François, Normandie, France
Hodique Philippe, Barbizon, France
Youssef Husseini, Ouagadougou, Burkina Faso
Ayaçaguer Jean-Claude, St Palais, France
Lebon Max, Sainte Marie, France
Riant Jean-Guy, Silogy, France
Lavallée Lucie, Québec, Canada
Boucher Roger, Québec, Canada
Kombozi Angirio Constantin, Rwanda
Sicard Philippe, Villelaure, France
Pecetto Jacques, Bosc Roger en Roumois, France
Pecetto Régine, Bosc Roger en Roumois, France
Puigmal Alain, Castelou, France
Moisan Marjolaine, Levis, Canada
Abelshausen Christiane, Liège, Belgique
Orazio Giunta, Liège, Belgique
Renaud Nicole, Québec, Canada
Gervais Claire, Québec, Canada
Chapoteau Marcel Antoine, Gonaives, Haiti
Chapeau Nancy, Miami, U.S.A.
Carayol Chrisitine, Montpellier, France
Moliniez Bernard, Montpellier, France
David Jean-Hubert, Ottawa, Canada
Brisson Adrien, Québec, Canada
Demers Louise, Québec, Canada
Cuvelier-Roy, Xavier, Perpignan, France
Léger Bruno, Le Neubourg, France
Léger Marcelle, Le Neubourg, France
Wintzer Elisabeth, Graveron Semerville, France
Bariteau Monique, Arvet, France
Dhondee Donald, Flic en Flac, Ile Maurice
Lagesse Carol, Curepipe, Ile Maurice
Lagesse Pascal, Curepipe, Ile Maurice
Matthieu Mado, Québec, Canada
Gaborit Yvan, Condé sur Vesgre, France
Kelly Marie-Anne, Roches Brunes, Ile Maurice
Kelly Joelle, Roches Brunes, Ile Maurice
Kelly Pierre, Roches Brunes, Ile Maurice
Dujour Parnell, Miami, USA
Accardi Lucie, Perpignan, France
Prieur Jean-François, Perpignan  , France
Larré Christian, La Vallée, France
Larré Marie Thérèse, La Vallée, France
Saboul Michel, Nantes, France
Rabatel Jean-Pierre, gillonnay  , France
Uytenbogaardt Catharina, Frontignan, France
Courtois Jacques, Kerguelen, France
Lunazzi Marie-Claude , Montpellier , France
Lefebure Patrice, Floreal, Ile Maurice
Godin Tiphaine, Paris, France
Dupont Valérie, Colombier, France
Michel Jean-Max, Nîmes, France
Lunazzi Serge, Montpellier, France
Dhee Michèle, Le Temblay, France
Bernard Arnaud, Eure-et-Loir, France
Bernard Claude, Eure-et-Loir, France
Nyenama Désiré, sénégal
Barbey Isabelle, Le Neubourg, France
Nijean Jannie, Fort de France, Martinique
Nijean Octavius, Fort de France, Martinique
Caudmont Gisèle, Eure et Loir, France
Moureau Jean-Claude, Wavre, Belgique
Félicien Roland, Montréal, Canada
Boisvert Ghislaine, Trois-Rivières, Canada
Guay Lyne, Québec, Canada
Dorval Francine, Québec, Canada
Gauvreau Yolande, Lachute, Canada
Binette Alain, Lachute, Canada
Bénézech Monique, Le Neubourg, France
Portmann Micheline, La Roche sur Yon, France
Petit Serge, Montréal, Canada
Parisisien Marielle, Val-des-Monts, Canada
Poirier Christophe, Marseille, Marseille
Papillon Claude, Lachute, Canda
Régent Cossette, Canada
Merlo Gilbert, Saintes, France
Nijean Jannie, Fort de France, Martinique
Nijean Octavius, Fort de France, Martinique
Godin Bertrand, Monaco, France
William Pierre, Dakar, Sénégal
Garignan Micheline, Ottawa, Canada
Garneau Jean-Roch, Ottawa, Canada
Garneau Geneviève, Ottawa, Canada
Garneau Julie-Anne, Ottawa, Canada
Ndoum Ndoum Daniel
Godin Jérôme, Croix, France
Devisse Robert, Québec, Canada
Schwartz Robert, France
Schwartz Michel, France
Fournier Louise, Canada
Saint-Germain Francois, Province de Québec, Canada
Pinault Jacques, Salignac, France
Querol Mario, Montpellier, France
Querol Lucienne, Montpellier, France
Boniver Hubert, Rousies, France
Rudaux Anne-Marie, France
Poidevin Jean, Béthume, France
Bourgois Nadine, Lille, France
Breton Serge, Le Mans, France
Barthélémy Marie-France, Bordeaux, France
Laisné Robert, Sinceny, France
Laurent Thierry, Le Lorous Bottereau, France
Belanger Claude, Laval, Canada
Barthélemy Jean-Marie, Bordeaux, France
Guichard Claire, Canada
Corbeil Gilles, Canada
Beauregard Sylvain, Gatineau, Canada
Ujma Jean-Pierre, Pfastatt, France
Ujma Gabrielle, Pfastatt, France
Guitton Catherine, France
Bernard André, Meursault, France
Bernard Andrée, Meursault, France
Belcou Christian, Le Lamentin, Martinique
Belcou Olga, Le Lamentin, Martinique
Girouard Murielle, Victoriaville, Canada
Dionne Claudelle, Ottawa, Canada
Duroiser Anne-Marie, Le Bousquet d’Ord, France
Batut Catherine, Toulouse, France
Gagnon, G., Québec, Canada
Deknop Isabelle, Liège, Belgique
Belières Christian, Paris, France
Belières Christine, Paris, France
Lombard Alida, Turin, Italie
Durand Jean, Paris, France
Chierotti Tiziana Cuneo, Italie
Belières Catherine, Paris, France
Müller-Garayt Francine, Wittelsheim, France
Vera Goncharuk, Novasibirsk, Russie
Arcas Jean-Claude, Castéra-Lou, France
Rousseau Jacqueline, Le Mans, France
Walker Dominique, Baccarat, France
Salicis Jean-Claude, Marignane, France
Mithieux André, Rivières, France
Pierre Daniel, Champsecret, France
Inza Ouattara, France
Hamel Arielle, Gatineau, Canada
Ovide Pierre-Yves, Montréal, Canada
Fratila Véronique, Paris, France
Genevois Sylvie, La Pierre Isère, France
Bulgari Alexis, Paris, France
Bernard Edith, Le Neubourg, France
Devaux Sylvain, Le Neubourg, France
Foret Agnès, Le Tremblay, France
Villedrouin Cassandra, Ottawa, Canada
Duviquet Eric, Coulommiers, Seine et Marne
Quemener Aurélie, Coulommiers, Seine et Marne
Poudroux Dominique, Le Tampon, France
Desmoulins Marie-Françoise, Le Mans, France
Barbey Denis, Suisse
Boyer Eric, France
Lassena Keita, France
Bergeron Guy, Ile Perrot, Canada
Salicis Jean-Claude, Marignane, France
Gros-Louis Yves, Wendake, Canada
Allievi Annick, Saint-Avold, France
Prévost Ode, Hyères, France
Hoarau Josiane, Bourges, France
Markstein Max, Mulhouse, France
Gouay Michel, France
Roseline Joseph, Rimouski, Belgique
Surcin Hélène, Alençon, France
Ngedi Bikitik Raymond, France
Tourrette Loïc, Pibrac, France
Penez Claude, Lorgues, France
Rameau Floris, Tervuren, Belgique
Haudegond Xavier, Romorantin-Lanthenay, France
Dubosson Barbey Jeanine, Bussigny, Suisse
Cortada Joseph, Reims, France
Fouque Danielle, Paris, France
Allievi Annick, Saint-Avold, France
Chicoine Louise, Montréal, Canada
Mas Martine, France
Maréchal Christine, Paris, France
Boland Jeannine, Belgique
Tuech Max, Gan, France
Goyau Michel, Bordeaux, France
Kohi Agenor, Abidjan, Côte d’Ivoire
Malrait Gaëtan, Lasne, Belgique
Bardet Lionel, Nogent sur Marne, France
Munoz Danilo, St Just en Chevalet, France
Hounsinou Nelly, Paris, France
Patenaude Rolande, Chambly Pr, Canada
Singier-Kurzawa Patrice, Saubrigues, France
Barbier Alain, Sceautres, France
Carmelli Raymond, Essonne, France
Dupont Jean Daniel, Portes-en-Valdaine, France
Bitumba Willy, Paris, France
Bitumba Evelyne, Paris, France
Mille Michel, Rocher d’Ongles, France
Catelot Christine, Savigny sur Orge, France
Trapp Jean-Luc, Bischheim, France
Ngoumouboha Jacqueline Djamila, Pointe-Noire, République du Congo
Pont Patrick, France
Messan Clément, Savigny-le-Temple, France
Pascaline Bonnet, St Just en Chevalet, France
Munoz Danilo, St Just en Chevalet, France
Bardet Lionel, Nogent sur Marne, France
Bouguet Danielle, France
Vandini Jean-Pierre, Cannes, France
Okomba Emile, Fontenay-Aux-Roses, France
Bertran de La Farge, Toulouse, France
Chaussonnet Maguy, Frontignan, France
Masquerel Martine, Neufchatel-en-Bray, France
Bugeaud Jacques, Montréal, Canada
Odjo Eric, France
Hébert Henri-François, St-Sauveur, Canada
Souleymane Cisse, Paris, France
Benoit Emmanuel Léo, Ottawa, Canada
Defollin Annick, Sorbiers, France
Labbé Héléna, Villeneuve sur Lot, France
Traore Hélène, Saint Pastour, France
Vauclin Jean, Annecy, France
Tessari François, St Etienne-les-Orgues, France
Bon Pascale, St-Gilles les Bains, La Réunion
Ben Vandoorne, Linkebeek, Belgique
Dumartin Matthieu, Marmande, France
Vorgeat Bernadette, Chambray les Tours, France
Vorgeat Pierre, Chambray les Tours, France
Bourdon Michel, Mont-roc, France
Lartigue André, Poitiers, France
Le Corfec Bernadette, Le Cayre, France
Mallet François, France
Simon Elisabeth, Paris, France
Normand Rail, Québec, Canada
St-Pierre Daniel, Val-Morin – Québec, Canada
Johannin André, Nantes, France
Van Geneviève, Bruxelles, France
Chapoutot Christine, France
Laurens Didier, France
Rodrigue Jocelyne, Sherbrooke – Québec, Canada
Leman Léa, Lez Fontaine, France
Leman Brigitte, Lez Fontaine, France
Vendt Joëlle, St-Gaudens, France
Genoud Lucienne, Cannes, France
Coulichet Didier, Côte d’Or, France
Coulichet Christiane, Côte d’Or, France
Brassard Hélène, Québec, France
Gauthier Philippe-Didier, Angers, France
Toviho Séverin, Cotonou, Bénin
Valbuzzi Josette, Aspet, France
Nkouikani Barthélemy, Brazzaville, Congo
Cantrelle Gisèle, France
Destribats Martine, France
Sabas Anne-Catherine, France
Colonna Thierry, Montrouge, France
Vergereau Marie-Hélène, Montpellier, France
Robert Alain-Michel, Strasbourg, France
Chiappino Pascale, Rabou, France
Deschamps Lionel, Rabou, France
Rodriguez Roger, Toulon, France
Rodriguez Carmen, Toulon, France
Rodriguez Nathalie, Toulon, France
Froger Robert Jean, Caen, France
Garcia Andrée, Petit Landau, France
Desoeuvres Jean, Vanves, France
Taylor Robert, Saint-Jérôme,québec, Canada
Mistral Michel, Valréas, France
Lemaitre Michel, Marseille, France
Cabuzel Louis, Clichy-la-Garenne, France
Desfarges Jean-Miche, Haute-Saône, France
Ekandzi Steve, Noisy le Grand, France
Kuntz Bernard, Ingersheim, France
Zunino Sylvie, Var, France
Mensah Robert, France
Mounis Alain, Loire-Atlantique, France
Houedjissin Gbètondji Ferdinand, Dakar, Sénégal
Desfarges Jean-Michel, Chargey, France
Maloisel Janine, Caen, France
Bourdon Mireille, France
Corbeil Jean-Pierre, Montréal, Canada
Hounsou Eugène, Paris, France
Houedjissin Ferdinand Gbètondji, Dakar, Sénégal
Legrand Marie-Thérèse, Namur, Belgique
Sulla Evelyne, Montréal, Canada
Janssens Clémentine, Vendée, France
Vallée Franck, Essonne, France
Cazaud Béatrice, Nîmes, France
Kakahi Désiré, St Denis, France
Inza Ouattara, Abidjan, Côte d’Ivoire
Valla-Tiberghien Colette, Ste Florence, France
Eugenie Gilda Gilbert, Dieudonné, France
Balep joseph, Vitry-Le-Francois, France
Poncelet Marie Noëlle, Cales, France
Poncelet Jean-François, Cales, France
Le Veux Bernard, Vauhallan, France
Lesburguères Françoise, Lille, France
Cavaille Pierrette, Toulouse, France
Bourseau Patrick, Draveil, France
Loste Michel, Pyrénées, France
Gallard Louis, Mayenne, France
Bardeau Nadine, Ivry sur Seine, France
Blaise Kanyemesha, Francfort, Allemagne
Pekpeli Tchonda Tchilalou Eugénie, Lomé, Togo
Grégory G.d.B, Albi, France
Auduc Daniel, Nantes, France
Chanteloup Dominique, Saint Cyr sur Loire, France
Bohn Jacky, Colmar, France
Agbanlin Emile, Cotonou, Bénin
Rossin Jacqueline, Dijon, France
Mack Makédika, Besançon, France
Béland Nicole, Montréal, Canada
Bouchard Francine, Montréal, Canada
Harvey Gilles, St-Sauveur, Canada
Harvey Lise, St-Sauveur, Canada
Ballenghien Michel, Paris, France
Abdallah Djamal, Yvelines, France
Noyon France, Begles, France
Fiedler Sandra, Tourrettes, France
Palao Josiane, Thezans sur Béziers, France
Planckaert Marie-Chantal, Saxel, France
Jean-Baptiste Pierre Jude, Port-au-Prince, Haïti
Sylvie Gerolami, Montigny les Cormeilles, France
Zebedhee Kalamba Mbayo, Cape Town, Afrique du Sud
Gouzy José, Castelnau Le Lez, France
Lotode Evelyne, Castelnau Le Lez, France
Batumike Jacques, Dundas, Australia
Magali Lavigne, Québec, Canada
Perrin Michel, Punaauia, Polynésie Française
Amenopeth Elisabeth, Francfort, Allemagne
Lemieux France, Montréal, Canada
Lepeltier Alain, Tours, France
Audifax Pauline, France
Alvarez-Chevalier Catherine, Longueuil, Canada
Laurens Didier, Foix, France
Serrano Mario, Pons, France
Marie-Lourdie Chardavoine, France
Sylvie Gerolami, Montigny les Cormeilles, France
Ouédraogo Moussa, Ouagadougou, Burkina-Faso
Monvoisin François, Nice, France
Bernatchez Firmin, Canada
De Lastic, St Antonin, France
De Frutos Jean, Le Barcarès, France
Gérard Lefrançois, Longueuil, France
Pocheville Alain, Verrières-le-Buisson, France
Grandidier Alain, Aquitaine, France
Drapeau Pierre, France
Soquet Albert, France
Bonniol Christiane, France
Vidal Joséphine, Digne Les Bains, France
Nadege Constant Anna-Karenine, Port-au-Prince, Haiti
Fontaine Robert et Martine, Fréjus, France
Hounsou Yolande, Paris, France
Irami Tavares, Fortaleza – Ce, –
Ripardo Teixeira, Ceará, Brazil,
Tubau, Sébastien, Suisse
Desirat Nelly, Yvelines, France
Evrard Yolande, Overijse, Belgique
Brown-Frossard Robin, Villarlod, Suisse
Morel Annie, France
Couïc Serge, Givet, France
Waterman Christiane, Genève, Suisse
Budynek Pascal, France
Reymond Emmanuel, Frankfort, USA
Germain Anne-Marie, Champagne, France
Monvoisin François, Nice, France
Corbineau Bernard, Gagny, France
Corbineau Marie-Josèphe, Gagny, France
Thomas Christine Courtesserre, Courpière, France
Dorsan Pelage félicien Pierre, Sainte-Rose, Guadeloupe
Yeboue Kouassi, Abidjan, Cote D’ivoire
Hoarau Roger, Bourges, France
Jacquot Claudine, Roquefort, France
Robert Margaret, Toulon, France
Tawlessi K. Essohanam, Lomé, Togo
Goetschel Raymond, Genève, Suisse
Beaupré Lise, Québec, Canada
Yann Berntrand, Montréal – Québec, Canada
Eyherabide Jean-Pierre, France
Grassi Roberto Maria, Paris, France
Martin Jean-Louis, Saint-Blaise/NE, Suisse
Gennadiy Savinkov, Voronezh, Russia
Atana Perpetue, Lomé, Togo
De La Maria Antonio, Brésil
Meledje Rohel Esther, Argenteuil, France
Albiol Alain, Lattes, France
Moreau Nicole, Morcenx, France
Morizot Gérard, St Nectaire, France
Plane Anne-Marie, Montpellier, France
Vignaud Fernande, Chateaubernard, France
Ouattara Kadiatou, Abidjan, Côte d’Ivoire
Ouattara Bêh, Abidjan, Côte d’Ivoire
Nelzin Malou, Gosier, Guadeloupe
Bonte Jean-Luc, Nantes, France
Noufé Nadine Mireille, Ouagadougou, Burkina Faso
Axel Martinat, Valognes – Manche, France
Camille Oddou, Valognes – Manche, France
Leroux Philippe, Paris, France
Sergio Marc-Antoine, Brignoles, France
Delpeuch Anne, Falaise, France
Villero Josette, Vallet, France
Fremeau Michèle, Bourbon l’Archambault, France
Leclecq Jacqueline, Arpheuilles, France
Edery Geneviève, Menton, France
Gauducheau Hélène, Draviel, France
Josfoundohou, Abomey-Calvi, Bénin
Santos Anabela, Porto, Portugal
Democrite Lyonnel, Bordeaux, France
Pineau Bonte Edwige, France
Martella Michel, Paris, France
Martella Suzanne, Paris, France
Gatibelza Urbain, Point à Pitre, Guadeloupe
Ganfon Jean-Eudes, Parakou, Bénin
Ingele Michel, Kinshasa, R.D.Congo
Carrel Ludovic, Rhône, France
Sonntag Jean-Pierre, Lingolsheim, France
Kachkavaldjian Jean-Marc, Pertuis, France
Pencolé Anthony, Livry, France
Bertin Claude, France
Detroussel Pierre, St Michel/Orge, France
Robin Michel, Le Gosier, Guadeloupe
Deguerois Isabelle, Vendes, France
Simon Pierre, Bourg-La-Reine, France
Giraud Bernard, Saint-Egrève, France
Giraud Monique, Saint-Egrève, France
Willy Mwamba, Kinshasa, Rép. Dém.du Congo
Piquemal Liliane, Perpignan, France
Chevet Guy, Longueil Sainte Marie, France
Guilbard Nicole, Cormelain, France
Guilbard Jean-pierre, Cormelain, France
Grisot Odile, Lyon, France
Koukoui Basile, Abidjan, Côte d’Ivoire
Kone Djibril, Abidjan, Côte d’Ivoire
Trouble Dominique, Paris, France
Sulla Evelyne, Québec, Canada
Duverge Édwidge, Québec, Canada
Desmoulins Marie-Françoise, Le Mans, France
Leroux Marie, Paris, France
Tiacoh Marie Christelle Aurélie, Abidjan, Côte d’Ivoire
Joëssel Isabelle, Epalinges, Suisse
Sylvie Dakouré, France
Menut Sébastien, France
Deppen Ursula, Corbeyrier, Suisse
Rothdiener Olivier, Vence, France
Deprendez Frédéric, Bergerac, France
Sahibou Oumarou, Californie, Etats-Unis
Ouédraogo Idrissa Alexis, Ouagadougou, Burkina Faso
Wotoko Elly, Lome, Togo
Perez André, Mulhouse, France
Coulibaly SieIbrahim, Côte d’Ivoire
Sage-Dupont Marie Gabrielle, Sinnamary, France
Beurq Jacques, Linars, France
Luissier Jean-Yves, Canada
Bayon Marie-Blanche, Lyon, France
Affognon Serge Christian, Libreville, Gabon
Philipp Joséphine Josette, Roquefort, France
Cochet Jeannine, Vendôme, France
Burgisser Janine, Suisse
Angogna Chantal, St Jean de Maurienne, France
Flamez, Rigo, Stanbridge Station, Canada
Choquette Roger, Montréal, Canada
Veronique Camilleri, Pierrelatte, France
Pansa Isabelle, Arles, France
Geneviève Coupeau, France
Angiari Maurice, Isère, France
Bacquès Jean, Nantes, France
Bacquès Gisèle, Nantes, France
Gorisse Jacques, Nice, France
Abou Gnahoré, Abidjan, Côte d’Ivoire
Bueri Catherine, Petite île, La Réunion
Bueri Sauveur, Petite île, La Réunion
Agoliagbo Wilfrif, –
Waroquy Albert, Plélan, France
Yao Kouadio Paul, Boli, Côte d’Ivoire
Baromi Fachédé, Lomé, Togo
Ehm Emmanuel, RD. Togo
Devin Françoise, Rennes, France
Mielle Marylène, Tarsul, France
Gravier Marcelle, Ste-Marie, Réunion
Gravier Joseph, Ste-Marie, Réunion
Fouquet Henri, France
Kolb Devaud Mousse, Penthaz, Suisse
Devaud Marcel, Penthaz, Suisse
Masurel Henri, Nouméa, Nouvelle Calédonie
Souabria Thérèse, Ile de France, France
Pache Antoinette, Nice, France
Etienne Jeannine, Verneuil-sur-Avre, France
Cassen Lionel, La Foa, Nouvelle Calédonie
Sicurani Mathieu, L’Escarene, France
Mamary Sangare, Bamako, Mali
Lacroix Michel, Lons le Saunier, France
Cishugi Ruzira-Boba Roger, Kinshasa, R.D. Congo
Urbain Jean-Claude, Magny, France
Monique Bouchet, France
Henri Fouquet, France
Paulette Fouquet, France
Gandit Jean-Marc, Saint Dié des Vosges, France
Dorval Marc, La Réunion
Martin Léon, R.D. Congo
Lubiondo Kettie, St Mitre les Remparts, France
Cahu Christian, La Lande d’Airou, France
Haral Marie-Rose, Bouillante, France
Lubiondo Marie Louise, St Mitre les Remparts, France
Piccot François, Paris, France
Paciaga Christian, Orléans, France
Sore Oualioulaye, Burkina Faso
Pierrre Toussaint Jeams Billandy, Lascahobas, Haïti
Roig Francis, France
Bastide Frédéric, Toulouse, France
Anne-Marie Durosier, Le Bousquet d’Orb, France
Dougados Cyril, Toulouse, France
Ombango Richard, Libreville, Gabon
Ewoure Pierre Ferdinand, Libreville, Gabon
Sulic Josefina Maria,
Malifer Serge, Rennes-le-Château, France
Rellier Valerie, Laval, France
Godonou Henri Perpethu, Libreville, Gabon
Vinchon Jean-Dominique, Vanves, France
Guericolas Jean, Chantraine, France
Ouégnin Angèle, Abidjan, Côte d’Ivoire
Saint Jude, Gilles, Haïti
Pernin François, Pluneret, France
Bueri Sauveur, Île de la Réunion, France
Bueri Catherine, Île de la Réunion, France
Buerkle Clayton, Washington, U.S.A.
Mohamed Benabdellah, Montréal – Quebec, Canada
Hubert Elisabeth, Picardie, France
Barrau Marie-Claude, France
Gagné Normand, Montréal – Québec, Canada
Meunier Chantal, Montréal – Québec, Canada
Dargagnon Philippe, Mayran, France
Immele Arnaud, Ostheim, France
Alapini Olayode Serge, Bénin
Senami Laetitia, Bénin
Rannaud Christian, Bousbecque, France
Ossepe Rigobert, Côte d’Ivoire
Fouque Danielle, Paris, France
Rabatel Monique, Marseille, France
Adjaho B. Gautier, Cotonou, Bénin
Coulon Philippe, Sainte Geneviève des Bois, France
Welfringer Alain et Nicole, Saint Denis, France
Welfringer Yannick, Puteaux, France
Duret Eve-Odette, Perpignan, France
Ong-OVRCAF, Gabon
Yoro Marie, Abidjan, Côte d’Ivoire
Kouame Akouba
Dézahi Gonné
Hélène Corbin, Québec, Canada
Roland Guede
Bourdeau Didier
Aminoulaye Joachim, Allemagne
Berthelot Brigitte, Yvelines, France
Vauthier Suzette & Pierre, Montauban, France
Ouattara Yegueleworo, Abidjan, Côte d’Ivoire
Ouattara Mirma Elicha, Abidjan, Côte d’Ivoire
Yegueleworo
Coubronne David, Vaucelles, France
Juglall Dauvic, Albion, Ile Maurice
Cuenot Gilbert, Figeac, France
Chevalier Deneubert Jean, Tours, France
Muller Yves, Lausanne, Suisse
Gaujard Daniel, Aulnay-sous-Bois, France
Gréaux Chantal, Lyon, France
Jazede Gérald et Josette, Septfonds, France
Longin Danielle, Le Chesnay, France
Laval Lionel, Saint-Cloud, France
Marmounier Yvette, Augy, France
Drapeau Pierre, Richelieu, Québec, Canada
Some Téonbaore, Lille, France
Bueri Jean-Paul, Marseille, France
Kamanda Lumpungu, Ascona, Suisse
Musslin Xavier, Toulouse, France
Flayeux Joël, Epinal, France
Kalembo Kalanda Moïse, Lubumbashi, Rép. Dém. du Congo
Mazeau Michel, Haute-Savoie, France
Pynthe Bernard, Sochaux, France
Diarra Anaïs, Gabon
Bourdua Carmelle, Montréal, Canada
Vadier Michel, Chécy, France
Roquain Brigitte, Chécy, France
Lafia Edgard, Cotonou, Bénin
Gondo Blé Félix, Daloa, Côte d’Ivoire
Bertron Patrice, Chambourcy, France
Chevassu Jean-Pierre, Eloyes, France
Cray Bernadette, Villeneuve les Avignon, France
Héran Arlette, Tarbes, France
Hermitte Manuel, Tarbes, France
Villaume Marie-Antoinette, Toulouse, France
Grandjean Daniel, Epinay sous Sénart, France
Eliane Boinet-Verrecas
Sonou Evariste, Libreville, Gabon
Godonou Germain, Libreville, Gabon
Mamadou Kouanda
Aboussou Dogbo Boniface, Abidjan, Côte d’Ivoire
Grenier, Marie-Rose, Sherbrooke, Canada
Robert Jean-Marc, Magog, Canada
Benoist Parzy Nicole, Thury, France
Hezonvode Zannou Germain, Bénin
Gabaret Jean-Claude, Le Bugue, France
Gabaret Jean-Claude, Le Bugue, France
Wasungu Pascal, Togo
Gennady Sincerus, Almetyevsk, Russie
Lemay Isabel, Boucherville – Québec, Canada
Tacituma Nina, Almetyevsk, Russie
Michael Flambert, Lansdowne, USA
Beert Carl, Bruxelles, Belgique
Sandwidi Dieudonné, Burkina Faso
Tareau Frantz, Lamentin, Martinique
Tareau Christine, Lamentin, Martinique
Koptelov Vladimir, Moscou, Russie
Bertrand Jean-Marie, Bruxelles, Belgique
Sossou Jean Paul, Cotonou, Bénin
Maunier Marie-Line, Saint-Denis, La Réunion
Juglall Louis Dauvic, Albion, Ile Maurice
Dejean de la Bâtie Anne, Villeneuve-sur-Yonne, France
Moumboko Daniel, Brazzaville, Congo
Leclerc Nancy, Chateauneuf du Pape, France
Baillif Micheline, Saint Gilles les Bains, La Réunion
Vadi Cramotte Michèle, Maxent, France
Labille Jean, La Seyne sur Mer, France
Potin Elisabeth, Mazan-Carpentras, France
Planeille-Merdy Véronique, Beausoleil, France
Crocilla Gennaro
Müller Lorelei, Wittelsheim, France
Aubert Nelly, Avignon, France
Rouvinez Andrée, Suisse
Djade Koffi, Togo
Ricardon Jean-Claude, Oze, France
Guilbard Jean-Pierre, Torteval-Quesnay, France
Guilbard Nicole, Torteval-Quesnay, France
Choquette Jeanne, Gatineau, Canada
Druleve Marainne, Les Paluds de Noves, France
Vaisse Isabelle, Barbetaine, France
Raffard Michèle, St Just de Claix, France
Cambier Pol, Framont, Belgique
Hecketsweiler Christiane, France
Thomas Villette, Chantilly, France
Abitangbina Angeline, Hyattsville, MD, USA
Gounabou Assouthina, Burkina Faso
Dupont Paul, Toulouse, France
Nzecke Elie, Edea, Cameroun
Potin Elisabeth, Mazan-Carpentras, France
Ruter Rollande, Fort de France, Martinique
Tidona Hervé, Orgères, France
Coles Chakirou, Bénin
Missainhoun Marcel Pierre, Bénin
Saliba, Ambroise Jean-Marie, Montréal, Canada
Pizzardini Marc, Antibes, France
Rossignol Christian, Le Pontet, France
Hamache Philippe, Belle île en mer, France
Sow Assitan, Bamako, Mali
Bleindou Mougo, Abidjan, Côte d’Ivoire
Ekon Adolphe, Lomé, Togo
Makale Elong Elise, Douala, Cameroun

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Hommage à Gérard Palaprat

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C’est avec tristesse que je viens d’apprendre le décès de Gérard Palaprat. J’ai toujours aimé ses chansons en raison de l’humanisme, de la spiritualité et du mysticisme qui s’en dégagent. Dans les années 70, « Fais-moi un signe », « Svasti », « L’homme tu ressembles à Dieu », « La source du bonheur », « Il était écrit », « S’aimer davantage », « Ami », « I shin den shin » et tant d’autres succès lui ont valu la célébrité.

Les années passèrent pour lui comme pour tous, certes avec leur lot de plaisirs, de joies et de bonheurs, mais aussi de difficultés, d’épreuves et de déceptions. Il ne fut pas épargné, mais jamais il ne perdit la foi ni l’inspiration ; c’est plutôt le public qui devint moins réceptif à ce genre de chansons, peut-être en raison de l’individualisme et du matérialisme montants.

En 1995, le « hasard » voulut que l’on se rencontre. Il insista pour devenir membre de l’A.M.O.R.C. et le resta jusqu’à son dernier souffle. Le sachant plutôt seul et souvent dans la peine, je l’appelais régulièrement au téléphone et essayais de le réconforter. Voici quelques mois, il m’informa qu’il avait une tumeur sur les cordes vocales, laquelle, malheureusement, dégénéra…

Parmi les chansons qu’il composa, il y a « Le bateau de cristal ». Je l’ai souvent écoutée à titre personnel, mais aussi chaque fois que j’apprenais la mort d’un être cher ou d’un ami. Aujourd’hui, je vais la « mettre en boucle » en pensant à Gérard. Il était profondément mystique, croyait à la réincarnation et aspirait de toute son âme à connaître Dieu. Puisse-t-Il lui faire un signe et lui accorder la Paix Profonde si chère aux Rosicruciens…

Si vous avez connu Gérard Palaprat à travers ses chansons, je vous invite à lui rendre hommage en le visualisant à bord de son « bateau de cristal »…

Avec mes pensées les plus fraternelles.

Serge Toussaint
Grand Maître de l’A.M.O.R.C.

Engagement pour la planète

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Le 24 septembre 2015 – Année R+C 3368
Actualisée le 8 novembre 2017 – Année R+C 3370

ENGAGEMENT POUR LA PLANÈTE

Jusqu’à une époque relativement récente, les écologistes, déclarés ou non comme tels, n’étaient pris au sérieux, ni par les dirigeants politiques, ni par le peuple. On les considérait, au mieux comme de “doux rêveurs” en rupture avec la réalité, au pire comme des marginaux opposés au “système”. Aux yeux de la grande majorité des êtres humains, la planète semblait indestructible, invulnérable, inaltérable… La nature elle-même était perçue comme une très belle “mécanique”, réglée pour durer indéfiniment. De plus en plus exploitée et maltraitée, elle donnait pourtant des signes de déséquilibre et de désordre, mais très peu de personnes s’en préoccupaient.

Le développement de la technologie et de la science, conjugué à l’augmentation constante de la consommation, a conduit à une industrialisation de plus en plus grande de la société, et avec elle à une altération croissante de l’environnement : pollution des sols, de l’eau et de l’air ; déforestation excessive ; destruction des écosystèmes ; disparition définitive de certaines espèces animales ; émission massive de gaz à effet de serre, etc. Cette dégradation de la nature s’est mondialisée et concerne désormais l’ensemble de la planète. C’est donc la Terre elle-même, en tant qu’espace de vie, qui est aujourd’hui menacée, au point de compromettre à court terme l’existence même de l’humanité.

L’un des dérèglements les plus marquants de la planète est celui du climat, et ce, sur tous les continents. Longtemps nié ou minimisé, ce dérèglement climatique est désormais admis par la communauté scientifique et par une très grande partie de la population. Or, sans aller jusqu’à dire que c’est l’activité humaine qui en est responsable, il est établi qu’elle contribue au moins à l’accélérer, notamment en raison de la trop grande émission de gaz à effet de serre. Toujours est-il que la température moyenne a augmenté sur l’ensemble du globe, de sorte que les glaciers et les banquises polaires fondent à une vitesse inquiétante, et que le niveau des mers et des océans commence à s’élever. Sans parler de la multiplication des tempêtes, cyclones, inondations, feux de forêts et autres catastrophes naturelles.

La question qui se pose est de savoir pourquoi l’humanité en est arrivée là. D’une manière générale, c’est parce que l’économie s’est développée au détriment de l’écologie, et que la vie moderne a provoqué une rupture entre les hommes et la nature. Depuis ce que l’on appelle la «révolution industrielle», commencée à la fin du XVIIIe siècle, ils n’ont cessé d’exploiter leur environnement à outrance et d’en faire une source excessive de profits, ignorant ou feignant d’ignorer les dégâts parfois irréversibles provoqués sur lui. Ce sont évidemment les pays que l’on dit développés qui l’ont le plus dénaturé et qui, de ce fait, portent la plus grande part de responsabilité dans l’état actuel de la planète. Malheureusement, ils peinent à l’admettre et à réparer leurs erreurs.

Il devrait sembler évident à tous que si les pays dits sous-développés ou en voie de développement suivent le “modèle” des pays dits développés, notre planète n’y résistera pas, d’autant que la population mondiale ne cesse de croître de manière exponentielle, problème très préoccupant auquel, hélas, on n’accorde pas suffisamment d’attention. Les ressources naturelles de la Terre ne sont pas inépuisables, et les biens de consommation produits par les hommes, outre les pollutions diverses générées par leur fabrication, ne peuvent être partagées à l’infini. Nous devons donc changer radicalement notre mode de vie et mettre un terme à la culture consumériste qui prévaut dans de nombreux pays.

En raison de la crise économique et sociale que connaît le monde depuis plusieurs décennies, l’écologie a été totalement négligée par les gouvernements, soucieux avant tout de relancer l’économie, relance qu’ils associent quasiment tous à la croissance et à la consommation. Mais si la planète devient invivable en raison notamment du réchauffement climatique et de ses effets néfastes sur des centaines de millions de personnes, peut-être même sur des milliards, en quoi pourrons-nous nous satisfaire d’avoir restauré une économie florissante et un climat social apaisé ? Que dire également du coût des dégâts matériels provoqués par les intempéries dues à ce réchauffement, auquel s’ajoute malheureusement la mort d’un nombre de plus en plus grand de personnes ?

La plupart des spécialistes en la matière considèrent que nous ne disposons que de quelques années pour ralentir ce processus, avec, dans le meilleur des cas, la perspective de le stabiliser. C’est dire qu’il y a urgence ! Si aucune mesure concrète n’est prise sur un plan inter- national, la situation va empirer à un rythme de plus en plus rapide et en produisant des effets de plus en plus destructeurs pour un nombre de plus en plus grand d’êtres humains. Des îles, des presqu’îles et des côtes continentales vont disparaître, ce qui entraînera des flux migratoires vers les terres a priori moins exposées. Ces millions de «réfugiés climatiques» s’ajouteront à ceux qui fuient leur pays en raison de la guerre et (ou) de la pauvreté, avec tout ce que cela implique pour eux en termes de déracinement et de souffrances, mais aussi de problèmes à résoudre pour les peuples qui, bon gré mal gré, les recevront.

Mais le réchauffement du climat n’est pas le seul danger qui menace la survie de l’humanité. Comme je l’ai rappelé précédemment, et comme vous le savez, les pollutions de toutes sortes et autres atteintes à l’environnement réduisent de jour en jour notre qualité de vie. De toute évidence, nombre d’individus n’ont pas encore compris et intégré le fait que si la survie de l’espèce humaine dépend de la Terre, la Terre n’a pas besoin de l’espèce humaine pour continuer à exister. Rappelons que notre planète s’est formée il y a environ 4,5 milliards d’années, et que les premières créatures vivantes sont apparues dans les océans il y a environ 4 milliards d’années. D’un point de vue strictement biologique, la disparition des êtres humains serait un énorme gâchis, car ils constituent une merveille de l’évolution, mais elle n’aurait aucune incidence sur l’existence de notre planète et encore moins sur l’univers.

Nous ne devons pas changer uniquement notre mode de vie ; nous devons changer également le regard que nous portons sur la nature, je pense en particulier aux animaux. Je ne m’étendrai pas sur ce sujet, car je l’ai traité dans une «Lettre ouverte aux animaux». Je me limiterai à dire qu’ils sont plus indispensables à notre vie que nous le sommes à la leur. Ils sont apparus sur Terre des centaines de millions d’années avant l’espèce humaine et, sauf apocalypse qui en ferait une planète définitivement morte, ils continueront à l’habiter pendant des millions d’années, que l’humanité y vive encore ou non. Quoi qu’il en soit, nous n’avons aucun droit sur eux, car ils ne sont pas et n’ont jamais été la propriété de l’humanité. En revanche, nous avons le devoir de les respecter, et même de les aimer.

L’écologie ne peut et ne doit pas être le “fief” de telle association ou de tel parti politique. Plus que jamais, elle est l’affaire de tous. Certes, les gouvernements ont une responsabilité majeure dans ce domaine, mais les citoyens ont également un rôle très important à jouer. Ils doivent s’impliquer individuellement et s’efforcer d’avoir un comportement respectueux à l’égard de la nature. Ne pas gaspiller l’eau, le gaz ou l’électricité, réduire autant que possible les déchets domestiques, recycler ce qui peut l’être, éviter l’usage des produits toxiques ou polluants, consommer raisonnablement, respecter les animaux…, sont autant d’attitudes que chacun peut adopter au quotidien et qui contribuent à préserver l’environnement. Si la majorité des êtres humains, tous pays confondus, consentaient à cet effort, la Terre pourrait se régénérer progressivement et redevenir un lieu privilégié où il ferait bon vivre pour tous.

L’Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix a toujours accordé une grande importance à l’écologie, au sens, non pas idéologique du terme, mais humaniste. Au cours de ces dernières années, il a publié plusieurs textes sur ce thème, l’un des plus marquants ayant été lu au Sénat du Brésil, en présence de nombreuses personnalités civiles et politiques, lors du Colloque qui s’est déroulé en juin 2012 dans le cadre de «Rio +20». Par ailleurs, dans la «Déclaration rosicrucienne des devoirs de l’Homme», publiée en 2005 dans plusieurs journaux et revues de premier plan, on peut lire notamment : «Tout individu a le devoir de respecter la nature et de la préserver, afin que les générations présentes et futures puissent en bénéficier sur tous les plans et voir en elle un patrimoine universel» ; idée reprise et développée dans l’«Appelatio F.R.C.», éditée en 2014.

Si, comme je l’espère, vous êtes conscients de la gravité de la situation sur le plan écologique, et si vous voulez bien manifester votre désir de contribuer à la préservation de la nature, je vous invite à souscrire, vis-à-vis de vous-même, à l’engagement ci-après. Il suffit pour cela d’inscrire vos nom, prénom et lieu d’habitation à l’endroit indiqué. Par cet acte symbolique, vous vous promettrez de vous impliquer davantage encore dans la protection de notre planète.

Dans les liens qui nous unissent à la Terre-Mère, je vous adresse mes pensées les plus fraternelles.

Serge Toussaint
Grand Maître

 

 

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Engagement individuel

Conscient(e) de la nécessité de s’impliquer individuellement dans la protection de l’environnement, je m’engage à faire de mon mieux pour donner l’exemple d’un comportement respectueux à l’égard de la nature et des animaux.


Nom Prénom, Ville, Pays


Toussaint, Serge, Le Neubourg, France
Bernard Christian, Le Neubourg, France
Bernard Hélène, Le Neubourg, France
Duport André, Rive-de-Giers, France
Bauer Colette, Montigny-Lès-Metz, France
Delabriere Dominique – Landepéreuse – France
Boutel Jocelyne, Le Neubourg, France
Nanga Armand, Dakar, Sénégal
Rougeau,Sylvain,Bouffémont,France
Meledje Rohel E. Esther, Argenteuil, France
Vilar Nathalie, Geaune, France
Drapeau Pierre, Richelieu, Canada
Ladune Sandrine, Laigneville, France
Gaujard Raymond
Didier Gilles, Port-au-Prince, Haiti
Alfred Denis, St Hubert Québec Canada
Bouclet, Nadia, Kiel, Allemagne
Arevalo del Carpio Carlos, Nantes, France
Dorsan Pelage, Sainte-Rose, Guadeloupe
Robert, Jean-Marc, Orford, Canada
Riant Jean Guy, Le Tremblay, France
Lemieux, France, Godmanchester, Canada
Guay, Lyne, Québec, Canada
Fournier Louise Rimouski Québec Canada
Peter, Franky, Lome, Togo
Brassard, H.J., Montréal, Québec
Bagalciague Daniel, Hendaye, France
C. Alvarez Catherine, Stukely, Canada
Okimbi Odette, Noisy le sec, France
Fournier Louise, Rimouski, Québec
Ladune Michel, Laigneville, France
Bitumba Evelyne, Issy Les Moulineaux, France
Bitumba Mankoto, Issy Les Moulineaux, France
Walker Dominique, Baccarat, France
Anne-Marie Kritzler, Stuttgart, Allemagne
Bernard Edith
Acakpo-Addra Fabrice, Cormeilles en Parisis, France
Serrano Mario, Poitiers, France
Frasca Patrice, Hyon, Belgique
Talbot Gilles, Hearst, Canada
Ardilley, William, Hourtin, France
Hus,Christian, Bomy, France
Glasner Claudine, Portiragnes, France
André Mithieux, Rivières, France
Sophie Blanco, Bordeaux, France
Müller, Francine, Staffelfelden, France
Maryse Dubuffet, Segard, Rueil Malmaison
Deremaux Jean-François, Libercourt, France
Martine Blanco Eline Corneilhan France
Rudolf Mathias, Strasbourg, France
Neveu Mary, Rose-Hill, Île Maurice
Vovard, Hadrien, Paris, France
Houceine Abd El Aziz et Malika
Guérin Sonia Maria Galizi/ Ribeirão Pires/SP/ Brésil
Guérin Alain Adrien/ Ribeirão Pires/SP/Brésil
Garneau, Jean-Roch, Ottawa Canada
Roger Cishugi, Kinshasa, Rd-Congo
Gual virginie, Bompas
Annaix Danièle, France
Annaix Frédéric, France
Rivasseau,J ean-Marc, Vendée, France
Dubé Christian, Ottawa, Canada
Burzawa-Caillard, Eric, Tournan en Brie, France
Chenard Florence, Québec, Canada
Dago Patricia, Abidjan, Côte d’Ivoire
Kuntz Eliane, Ingersheim, France
Croquet Sylvestre, Toulenne, France
Bernard Andrée, Meursault, France
Etelin Christine, Segreville, France
Gravini Jean Pierre, Biguglia Corse
Tourrette Loïc, Pibrac, France
Surcin Hélène, Alençon, France
Najafaly Mounir, Saint Pierre, La Réunion
Mielle Marylène, Tarsul, France
Caus Marie, Paris, France
Chemin Alexandre, Chaumont, France
Fallecker Jacques, Nice, France
Josique Guillaume, Bigarades, Rodrigues, Île Maurice
Corbeil, Jean Pierre, Wentworth-Nord, Québec, Canada
Kuntz Bernard, Ingersheim, France
Ngampika Nguissaliki, Timarli, Brazzaville, Congo
Beauboeuf, Claude, Port-au-Prince, Haïti
Pascoet Corinne, Toulon, France
Benezech, Monique, Le Neubourg, France
Kouagny Nafiessou, Olivier Desire
Guy Barillet, Rueil-Malmaison, France
Villedrouin Cassandra, Ottawa, Canada
Barbey, Denis, Bussigny, Suisse
Bariteau Monique, Arvert, France
Ntukanyagwe, Eric, Kigali, Rwanda
Immélé, Arnaud, Colmar, France
De Raulin Hervé, France
Guillot, Patrick, Houlgate, France
Boisvert, Ghislaine, Trois-Rivières, Canada
Joseph, Roseline, Rimouski, Canada
Moisan Marjolaine, Lévis (QC) Canada
Binate, Youssouf, Abidjan, Côte D’ivoire
Hangbe, Vital, Abomey, Bénin
Petit Magali, Revere, Massachusett
Depoorter Evelyne Angers, France
Novial Bruno, Marseille, France
Alvarez Eutiquio, Stukely, Canada
Hounyovi Wulfram Camille, Cotonou, Bénin
Yap Célestin Aimé, La Queue En Brie, France
Odjo, Judicaël, Cotonou, Bénin
Dennler Pascale, Thann, France
Micheline Carignan, Ottawa, Canada
Serra Gérald, Montréal, Canada
Madilian Félix, Paris, France
Joffre Jean François, Les Arques, France
Maltais, Jacqueline, Pointe-Lebel, Canada
Lucas Isabelle
Husseini Youssef, Ouagadougou, Burkina Faso
Vakoum Gohoré Sylvère
Benoit Emilien, Ile Maurice
Dossou-Yovo A. C. Aristide, Cotonou, Bénin
Koffi Kevin. J, Abidjan, Côte d’Ivoire
Zimmer Valérie, Poitiers, France
Randriamiarintsoa Tahiry, Antsirabe, Madagascar
Laval, Lionel, Igny, France
Courtial Claire, Bordeaux, France
Alvarez Eutiquio Stukely Canada
Cazaud B.
Béland, Nicole, Montréal, Canada
Bonnard Thierry, Nice Comté de Nice, France
Kone, Nouhoum, Bamako, Mali
Toussaint André, Normandie, France
Toussaint Christiane, Normandie, France
Devaux Sylvain, Le Neubourg, France
Pecetto Jacques, Le Bosc Roger en Roumois, France
Etongue Mayer, Joël, Yaoundé, Cameroun
Dubé Annette, Montmagny,Canada
Ouégnin Angele, Abidjan, Côte d’Ivoire
Rodriguez Roger, Toulon, France
Rodriguez Carmen, Toulon, France
Rodriguez Nathalie, Toulon, France
Cleyet-Marrel Félix, Toulon, France
Walcker, Lucien, Argenteuil, France
Diarrassouba, Abroulaye, Abidjan, Côte d’Ivoire
Nda Adou, Abengourou, Côte d’Ivoire
Kokolo, Nathan, Kinshasa, RDC
Parra Julien, Bours , France
Laurent Thierry, Le Loroux Bottereau, France
Kone Ismael, Abidjan, Côte D’Ivoire
Rodriguez Roger, Toulon, France
Lartigue Andre Parigny, France
Markstein Max, Mulhouse, France
Cazaud Béatrice, Nîmes, France
Mussamba Claudine, Kinshasa, R.D.Congo
Degboe, Prosper, Carlisle, Pennsylvania USA
Adjoualé Aby, Fontenay le Fleury, France
Mabikana Diallo, Paris, France
Sylvie Cabrera, Vulaines Sur Seine, France
Evano Francis, Bois Le Roi, France
Constelline, Normandie
Lebon Mathilde, Lyon, France
Olaechea, Sylvie, Montréal, Canada
Desuche Eveline, Nantes, France
Desuche Jean, Nantes, France
Richet, Nina, Paris, France
Dupuis Beauchamps Isabelle, Egly ,France
Jean, Jesper-Endieu, Port-De-Paix, Haïti
Sully Chritophe, Uniondale, New-York
Rastouil, Sébastien, Montpellier, France
Ine Toily Seraphin, Nuneaton, Royaume Uni
Beaulieu Marie Carmel, Jacmel, Haiti
Walcker Lucien, Argenteuil, France
Remery, Thierry, Genève, Suisse
Pasteur-Remery Amalia-Elena, Genève, Suisse
Heckmann Philippe –
Ouedraogo Saidou, Ouaga, Burkina Faso
Delimele Marie-Claude, Moissat, France
Binette Alain, Lachute, Québec Canada
Binette Thérèse, Québec, Canada
Gauvreau Yolande, Lachute ,Québec, Canada
Grenier Marie-Rose, Sherbrooke, Canada
Gadreau Nicole, Sherbrooke, Canada
Destin Djems, Port-au-Prince, Haiti
Gros-Louis, Yves, Wendake, Canada
Rivard Serge, Montréal, Canada
Serge Rivard, Montéal, Canada
Cassien Ndamanisha, Bujumbura, Burundi
Lafon Jean Pierre, Toulouse, France
Lafon Pierrette, Toulouse, France
Yeo Kassinibin Abidjan Côte D’ivoire
Nijean jannie, Fort de France, Martinique
Nijean octavius ,Fort de France ,Martinique
Adankpo Dakitche Darius, Lome, Togo
Petit Serge, Montréal, Canada
Ilboudo Victor, Ouagadougou, Burkina Faso
Ouellet Monet, Pointe-Lebel, Canada
Denis, Miko, Port-au-Prince, Haiti
Tremblay, Ninon, Brownsburg-Chatham, Qc, Canada
Poupart Ghislaine, Nantes, France
Pineau Annig Nantes France
Guinot Geneviève, Saint Maurice, France
Galdiolo Iole, Flourens, France
Berry Michèle, Emanville, France
Vanier, Julie, Bromont, Canada
Gemme Annette, Shawinigan, Québec, Canada
Virmoux, Pascal, Ottawa, Canada
Nalbach, Myriam, Verona, Italie
Derouiche Pierrette, Montargis, France
Poudroux Dominique, Le Tampon, La Réunion
Haquet, Isabelle, Chatou, France
Aïda Coudray, Nancy, France
Alain Pierre Benoit Gonin, Rio de Janeiro, Brésil
Cougniot Florence, Creteil, France
Gonnet Micheline, Paris, France
Vaimbamba Emmanuel, Ouagadougou, Burkina Faso
Parent Carole, Québec, Canada
Miranda-Cortes Ghislaine, Saint Martin De Nigelles, France
Roesch, Sabine, Colmar France
Mabikana Diallo, Paris, France
Augier Jean-Bernard
Bouchard, Valery Georges, Port-Gentil, Gabon
Bita Minsili, Douala, Cameroun
Lutomatala S.Athanase, Luanda, R.Angola
Ouattara, Bêh, Abidjan, Côte d’Ivoire
Ouattara, Kadiatou, Abidjan, Côte d’Ivoire
Talacchia Marc Quingey, Rance
Ahandagbe Etienne, Porto-Novo, Bénin
Godin Sylvie, Le Neubourg, France
Damo Gilbert, Abidjan, Côte d’Ivoire
Galaz José, Juvisy, France
Diomandé Zeba Brigitte, Abidjan, Côte D’ivoire
Montagut, Daniel, Aspiran, France
Pecout, Véronique, Le Sappey en Chartreuse France
Lecomte Marie, Boucau, France
Castagno Andrée, Vienne, France
Carayol Christine, Carcassonne, France
Perron, Michel, Pully, Suisse
Ganglo Cossi Jean, Abomey-Calavi, Bénin
Kernaonet Michel, Paimpol, France
Gagné Normand, Montreal, Canada Québec
Kanyemesha Blaise, Francfort, Allemagne
Koutouan, Abokon, Abidjan, Côte D’ivoire
Zannou Paul, Cotonou, Bénin
Ehouman Fulbert, Côte D’Ivoire, Abidjan

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Voeux 2018

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Chers membres et amis de l’A.M.O.R.C.,

Alors que débute cette nouvelle année 2018, je vous présente mes meilleurs vœux et vous la souhaite aussi heureuse que possible sur tous les plans.

Puisse-t-elle vous apporter de nombreux moments de joie et de bonheur, ainsi qu’à tous les êtres qui vous sont chers.

Je profite également de cette occasion pour vous remercier de l’intérêt que vous accordez à ce blog, et pour les commentaires que certaines et certains font régulièrement en relation avec tel ou tel « point de vue ».

Vous renouvelant mes meilleurs vœux pour cette année nouvelle, recevez mes pensées les plus fraternelles.

Cordialement.

Serge Toussaint

Télévision : Guadeloupe INFO1-ÈRE

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À l’occasion d’une Convention rosicrucienne tenue à Point-à-Pitre, une interview de Serge Toussaint a été diffusée sur Guadeloupe 1ère, le 9 avril 2016, lors du journal de 13h00 et de 19h30.

A propos du bonheur

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Le bonheur est l’un des concepts qui ont été les plus commentés par les penseurs et les philosophes, et ce, depuis la plus haute Antiquité. De nombreux livres, traités et essais lui ont été consacrés au cours des siècles, les uns pour dire qu’il est (quasiment) inaccessible, les autres pour nous encourager à le rechercher, et même à le vivre. Quoi qu’il en soit, c’est un sujet, pour ne pas dire une préoccupation, qui interpelle et a toujours interpellé les êtres humains.

Qu’est-ce que le bonheur ? Quelle en est la source ? Comment y accéder ? Quels en sont les différents niveaux ? En quoi est-il à la fois un désir et un besoin ? Telles sont quelques-unes des questions auxquelles Serge Toussaint répond dans cet opuscule.

a-propos-bonheur-250

Table des matières

Le bien-être matériel – L’argent – La santé – Le travail – Avoir une passion, un idéal – L’amour – La paix – La liberté – Le plaisir – La joie – L’âme humaine – L’optimisme – Le regard sur soi-même – Les relations avec les autres – La nature – Le sens de la vie – Les porte-bonheurs – Bonheur et karma.

> Lire des extraits (avant-propos et extraits de chapitres)

Éditeur : Diffusion Rosicrucienne (janvier 2016)
100 pages
ISBN 9787191-040-9

L’article A propos du bonheur est apparu en premier sur Le Blog de Serge Toussaint.

Reportage réalisé par l’I.N.R.E.E.S.


Le Rosicrucianisme, une quête de sens, de connaissance et de sagesse

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Publication dans la revue Matières à penser d’été 2018, d’un texte de Serge Toussaint, intitulé : « Le Rosicrucianisme, une quête de sens, de connaissance et de sagesse.« 

Avant d’expliquer en quoi le rosicrucianisme est à la fois une quête de sens, de connaissance et de sagesse, il est peut-être utile de rappeler que l’Ordre de la Rose-Croix, sur le plan purement historique, est apparu au tout début du XVIIe siècle. Pour être plus précis, il s’est fait connaître par la publication de trois Manifestes : la « Fama Fraternitatis », la « Confessio Fraternitatis » et les « Noces chymiques de Christian Rosenkreutz », publiées respectivement en 1614, 1615 et 1616. Quelques années plus tard, en 1623, les Rose-Croix sortirent davantage encore de l’anonymat, puisqu’ils apposèrent dans les rues de Paris de mystérieuses affiches invitant les chercheurs à rejoindre leur Fraternité (« Nous, Députés du Collège principal de la Rose-Croix, faisons séjour visible et invisible dans cette ville par la grâce du Très Haut… » Dans les semaines et les mois qui suivirent le placardage de ces affiches, des centaines de livres furent écrits à propos des Rose Croix, les uns en leur faveur, les autres à leur encontre.

Aux sources du rosicrucianisme

Sur le plan traditionnel, les origines de l’Ordre de la Rose-Croix sont beaucoup plus anciennes, puisqu’elles remontent aux Écoles de mystères d’Égypte. Dans ces Écoles, dont l’existence est reconnue désormais par la plupart des égyptologues, des mystiques éclairés se réunissaient régulièrement pour étudier les mystères de l’univers, de la nature et de l’homme lui-même, d’où leur nom d’« Écoles de mystères ». Avec le temps, cette étude donna naissance à une Gnose, c’est-à-dire à une Connaissance secrète, transmise uniquement de bouche à oreille. Mais cette Gnose n’est pas restée figée en Égypte. C’est ainsi que des philosophes grecs comme Héraclite, Thalès et Pythagore, entre autres, sont allés étudiés dans ce pays (Pythagore plus de vingt ans).

De retour en Grèce, ils fondèrent leurs propres Écoles de mystères. À leur tour, des penseurs de la Rome antique étudièrent les mystères grecs, eux-mêmes inspirés des mystères égyptiens, et créèrent également des centres d’études dans leur pays. Par la suite, cet héritage ésotérique fut recueilli par les alchimistes du Moyen Âge, puis par les Rose-Croix au tout début du XVIIe siècle. À ce propos, il est intéressant de noter que Michaël Maier, qui faisait partie de la Fraternité rosicrucienne de l’époque, écrivit dans « Silencium Post Clamores » : « Nos origines sont égyptiennes, brahmaniques, issues des mystères d’Éleusis et de Samothrace, des mages de Perse, des pythagoriciens et des arabes. »

Depuis l’Époque moyenâgeuse, l’Ordre de la Rose-Croix a perduré, mais s’est perpétué à travers des cycles d’activité suivis de cycles de sommeil, et à travers divers courants. Au XVIIIe siècle, le plus important fut connu sous le nom d’« Ordre de la Rose-Croix d’Or d’Ancien Système. » C’est à cette époque que fut publié le livre « Symboles secrets des Rose-Croix des XVIe et XVIIe siècles », ouvrage magistral regroupant de nombreuses planches à caractère hermétique, alchimique et gnostique. Au XIXe siècle, c’est l’Ordre Kabbalistique de la Rose-Croix, fondé par Stanislas de Gaita (1861-1897) et Josephin Peladan (1858-1918), qui attira le plus l’attention. Il fut connu essentiellement à travers les Salons de peinture qu’il organisa à Paris et auxquels participèrent les plus grands peintres symbolistes de l’époque (Ferdinand Khnopff, Émile Bernard, Georges de Feure, Jean Delville, Charles Filligier, Eugène Grasset…).

Depuis le début du XXe siècle, c’est l’Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix qui constitue le mouvement rosicrucien le plus important. Il fut fondé par Harvey Spencer Lewis (1883-1939), lequel fut initié à Toulouse, en 1909, par le Grand Maître d’une mouvance rosicrucienne sur le point d’être mise en sommeil. De nos jours, l’A.M.O.R.C. est actif dans le monde entier et poursuit son oeuvre à travers des juridictions de langue : française, mais aussi anglaise, allemande, italienne, nordique, japonaise, russe, etc. Précisons qu’il est reconnu d’utilité publique dans plusieurs pays, en raison notamment de sa contribution à la culture, à l’éducation et à la paix. Non religieux et apolitique, il est ouvert aux hommes comme aux femmes, sans distinction de nationalité, de classe sociale ou de religion. En cela, il constitue une Fraternité mondiale et cosmopolite, représentative de toute l’humanité.

La question qui se pose est de savoir : Qu’est-ce qui, depuis la plus haute Antiquité, a incité des hommes et des femmes à étudier les Mystères, au sens traditionnel de cette expression ? C’est le désir et le besoin de mener une quête de sens, de connaissance et de sagesse. C’est là le propre de tout mystique authentique, c’est-à-dire de toute personne qui cherche à comprendre le pourquoi et le comment des choses. Les Rosicruciens font partie de ces chercheurs, et c’est ce qui justifie leur appartenance à l’A.M.O.R.C. En cela, je trouve regrettable que le mot « mystique » soit si souvent galvaudé et employé dans un sens péjoratif pour désigner un individu que l’on juge éthéré, déconnecté de la réalité, voire déséquilibré. En réalité, ce mot provient du grec « mystikos », qui veut dire « mystère ». Par extension, le mysticisme est l’« étude des mystères », ce qui nous ramène aux Écoles de mystères dont il a été question précédemment.

Une quête de sens

Que faut-il entendre par quête de sens ? D’une manière générale, c’est l’attitude de celui ou de celle qui pense que la vie a un but et qui cherche à comprendre en quoi consiste ce but. Cela suppose d’avoir une approche spiritualiste de l’existence et d’admettre que l’univers, la Terre et l’homme lui-même s’inscrivent dans un Plan divin. À l’opposé de cette attitude, il y a celle des athées et des matérialistes, qui considèrent que la vie n’a aucun sens et qu’elle est le fruit du hasard ou d’un concours de circonstances. Selon eux, l’être humain se réduit à un corps physique et n’existe que durant l’intervalle de temps qui s’écoule entre la vie et la mort, laquelle mène au néant et met fin définitivement à ce qu’il était en tant que personne. En vertu de cette conviction, la plupart recherchent le bonheur dans les seuls plaisirs et les seules joies que le monde matériel est susceptible de leur procurer, ce qui ne peut les satisfaire à long terme.

De toute évidence, les Rosicruciens font partie des spiritualistes qui mènent une quêtede sens et qui pensent que la vie a un but. Pour être plus précis, mais sans pour autant révéler en détail ce qui est expliqué à ce sujet dans l’enseignement de l’A.M.O.R.C. (ce qui serait impossible en quelques pages), l’ontologie rosicrucienne est fondée sur l’idée que tout être humain possède une âme virtuellement parfaite et que sa vie sur Terre doit lui permettre, tout en étant aussi heureux que possible, de prendre graduellement conscience de cette perfection latente, et même de la manifester à travers son comportement. Étant donné qu’un tel but ne peut être atteint en une seule vie, la plupart des membres de l’Ordre admettent le principe de la réincarnation. En application de ce principe, ou plutôt de cette loi spirituelle, nous nous réincarnons aussi longtemps que nous sommes encore imparfaits dans notre manière d’être.

On ne peut convaincre quiconque que la vie a un sens. Cela étant, la majorité des scientifiques s’accordent à dire que la probabilité qu’elle existe sur Terre était quasiment nulle au regard des nombreux paramètres nécessaires à son apparition (10-30). Si notre planète avait été plus proche ou plus éloignée du Soleil, si elle avait tourné sur ellemême plus rapidement ou plus lentement, si elle avait été plus grosse ou plus petite, si elle avait été davantage inclinée ou moins, etc., elle serait restée morte, à l’instar de ses « consoeurs » de notre système solaire. À ces paramètres cosmiques viennent s’ajouter toutes les conditions physiques et chimiques nécessaires à la vie. Dès lors, comment penser qu’elle est le fruit du hasard ou d’un concours de circonstances. Albert Einstein résuma en quelques mots son point de vue sur la question. Il déclara en effet : « Dieu ne fait rien pour rien, pas plus qu’Il ne joue aux dés. »

Précisément, qu’en est-il de Dieu au regard de l’ontologie rosicrucienne ? Assurément, il ne s’agit aucunement d’un Être suprême ou d’un Surhomme siégeant quelque part dans le ciel et décidant du sort de chaque être humain, y compris du moment et des circonstances de sa mort. Pour les Rosicruciens, Il s’apparente à l’Intelligence infinie et impersonnelle qui est à l’origine de la Création et de ce qu’elle contient sur les plans visible et invisible. Cette Intelligence absolue, immanente et transcendante, nous est inaccessible, mais Elle se manifeste dans l’univers, la nature et l’homme lui-même au moyen de lois que nous pouvons étudier, comprendre et, pour certaines, maîtriser. Le rosicrucianisme a pour but, entre autres, de se familiariser avec ces lois et de vivre enharmonie avec elles, conditions nécessaires à notre bien-être et au bonheur que nous recherchons. On notera que cette approche de Dieu est plus scientifique que religieuse.

Dès lors que l’on admet que l’univers, la nature et l’homme sont régis par des lois que l’on peut qualifier de « divines » (et qui font l’admiration des savants eux-mêmes), on est enclin à penser que la Création, dont nous-mêmes faisons partie, a elle aussi un but. D’un point de vue rosicrucien, elle sert de support matériel à l’Évolution cosmique, c’est-à-dire à l’évolution de la Conscience cosmique, laquelle est un attribut de Dieu, au sens que j’ai défini précédemment. À ce propos, il est intéressant de rappeler que Hubert Reeves, astrophysicien plutôt spiritualiste, a déclaré que « l’une des fonctions majeures de l’univers est de fabriquer de la conscience, à différents niveaux et sous différentes formes ». Sur Terre, ce processus opère d’une manière continue à travers les règnes minéral, végétal, animal et humain, ce qui veut dire que la vie utilise la matière pour réaliser un objectif commun : l’évolution progressive de la conscience vers des niveaux de plus en plus élevés.

Une quête de connaissance

En quoi consiste la quête de connaissance à laquelle se livrent les Rosicruciens ? Elle est fondée sur l’étude de l’enseignement dispensé par l’A.M.O.R.C., lequel se présente sous forme de fascicules qui s’échelonnent sur douze degrés et que chaque membre reçoit chez lui à raison de quatre par mois, ou auxquels il peut accéder par internet. Il est impossible, dans le cadre de cet article, d’énumérer tous les sujets traités ; on peut citer l’origine de l’univers, la structure de la matière, le temps et l’espace, les lois de la vie, les phases de la conscience, les phénomènes psychiques, la nature des rêves, les sons mystiques (les mantras), le concept de Dieu, l’Âme universelle, l’âme humaine et ses attributs, le but de l’évolution, le libre arbitre, le karma, les mystères de la mort et de l’après-vie, la réincarnation, le symbolisme traditionnel, la science des nombres, etc. À ces sujets viennent s’ajouter nombre d’expériences consacrées à l’apprentissage de techniques fondamentales en matière de mysticisme : la relaxation, la concentration, la visualisation, la création mentale, la méditation, la prière, la régénération, l’éveil psychique, l’alchimie spirituelle, etc. En cela, la connaissance rosicrucienne n’est pas spéculative ; elle a un caractère éminemment pratique

Parallèlement à l’enseignement auquel l e s membres de l’A.M.O.R.C. ont accès, ils bénéficient également des travaux effectués sous l’égide de l’Université Rose-Croix Internationale. Ces travaux leur sont communiqués régulièrement à travers des manifestes qui leur sont adressés, ou des articles publiés dans la revue Rose-Croix, accessible aux non-membres. Tous ont été rédigés par des Rosicruciens ou des Rosicruciennes spécialisés dans un domaine du savoir : médecins, psychologues, physiciens, musiciens, etc. Parmi les thèmes abordés dans ces manifestes, on peut citer l’électromagnétisme, la psyché, la géométrie sacrée, l’alchimie des rêves, les bienfaits de la relaxation, l’influence spirituelle de la musique, la division triadique du monde, la genèse de l’univers, les fondements de la santé, les origines de l’astronomie, etc. D’une manière générale, ces écrits ont pour but de proposer une approche spiritualiste des sujets traités. L’U.R.C.I. a d’ailleurs pour devise : « La culture au service de la spiritualité. »

Une autre source de connaissance existe pour les Rosicruciens qui le souhaitent. Elle consiste à se rendre dans une Loge de l’Ordre, afin de bénéficier de l’enseignement oral que l’on y dispense. Au cours des réunions (deux par mois), présents sont invités à écouter un entretien d’environ vingt minutes, suivi d’un forum au cours duquel chacun peut poser des questions à l’orateur ou faire des
commentaires. Parmi les sujets exposés et discutés, il y a les cycles de la vie, le mystère de la naissance, le mystère de la mort, l’équilibre vital, la prévention des maladies, la nature de l’aura humaine, le pouvoir de la parole, la pensée positive, les symboles, les quatre éléments, les bienfaits du rire, les propriétés de la lumière, les fondements du bonheur… Parfois, c’est une expérience collective qui est proposée aux participants, sur des thèmes aussi divers que la création mentale, la méditation, l’éveil psychique, la régénération, l’harmonisation astrale, la vocothérapie… Outre la connaissance ainsi acquise, le fait de rencontrer d’autres membres et de pouvoir échanger avec eux est très enrichissant sur le plan humain, et permet de vivre l’idéal de fraternité si cher aux Rosicruciens.

Mais la quête de connaissance ne saurait se réduire à acquérir des connaissances, qu’elles soient d’ailleurs théoriques ou pratiques. Elle consiste également à se connaître soi-même, comme l’enseignaient déjà les philosophes de la Grèce antique, en particulier Socrate, le « père » de l’éthique. Mais que veut dire « se connaître soi-même » ? À cette question, on peut répondre : c’est savoir qui l’on est en tant que personne, avec ses qualités, mais également ses faiblesses et ses défauts, ce qui suppose de recourir régulièrement à l’introspection. À un niveau plus élevé, c’est connaître notre âme elle-même, c’est-à-dire qui nous sommes en tant qu’entité spirituelle. Une telle connaissance ne peut être obtenue qu’au moyen de l’intériorisation, c’est-à-dire par une communion consciente avec notre Moi intérieur. La manière de réaliser une telle communion fait partie des pratiques mystiques enseignées dans l’A.M.O.R.C. et constitue l’un des fondements de l’initiation rosicrucienne.

À propos d’initiation, il est courant de penser que celle-ci correspond à une cérémonie ou un rituel au cours duquel un initiateur, physiquement présent, transmet une connaissance, un savoir, une onction…, à un initiable, lui aussi présent sur le plan physique. Dans ce cas, la transmission se fait par la voix et le geste. Cela étant, il existe une forme d’initiation plus subtile et à mes yeux tout aussi bénéfique, si ce n’est plus : celle que l’on reçoit de son propre Maître intérieur. En effet, celui-ci est le plus grand Initiateur qui soit, puisqu’Il est Dieu en l’Homme. Dans l’absolu, Il possède le plus haut niveau de connaissance et de sagesse qui nous soit accessible. C’est d’ailleurs ce qu’ont enseigné tous les Initiés du passé. En application de ce principe, chaque degré de l’enseignement rosicrucien est précédé par une initiation non obligatoire que les membres de l’Ordre peuvent recevoir en se rendant dans une Loge, ou en se la conférant eux-mêmes, au moyen d’un rituel rédigé dans ce but.

Une quête de sagesse

Qu’en est-il à présent de la quête de sagesse ? Avant de répondre à cette question, rappelons que la sagesse est en soi un archétype auquel la Tradition a donné le nom de « Sophia » Pour les philosophes grecs, elle prenait sa source dans l’Âme du monde, que les Rosicruciens assimilent à l’Âme universelle. Il faut noter également que l’être humain a tendance à admirer, voire à vénérer, les personnes que l’on dit sages et qui le sont vraiment. De même, la plupart des gens s’évertuent à donner d’eux-mêmes la meilleure image possible aux autres. Pourquoi ? Parce qu’ils sentent intuitivement que ce qui fait la valeur d’un individu, c’est son aptitude à exprimer le meilleur de luimême dans ses relations avec autrui. Cette tendance, ce sentiment, ont leur origine dans l’âme humaine, laquelle, en raison de son origine et de sa nature divines, aspire à la sagesse.

Convaincu que la sagesse est le but vers lequel tout être humain doit tendre durant son existence, Pythagore, considéré comme l’un des plus grands penseurs que l’humanité ait connus, fit de l’« amour de la sagesse » le guide suprême de sa vie, ce qui donna naissance au mot « philosophie ». Par extension, un philosophe, au sens le plus noble du terme, est quelqu’un qui aime la sagesse, au point de la rechercher et d’en faire une quête. Tel est précisément le cas des Rosicruciens ; ils aspirent en effet à l’atteindre, l’intégrer et l’exprimer à travers leur comportement, non seulement dans leur intérêt, mais également dans celui des autres. En fait, c’est ce qui justifie leur quête de sens et de connaissance. Ils rejoignent en cela l’idée de Spinoza, selon laquelle « La sagesse est le Bien suprême de l’âme humaine. » Dans les textes rosicruciens les plus anciens, elle est qualifiée de « summum bonum », ce qui veut dire littéralement le « souverain bien ».

Mais qu’est-ce que la sagesse ? D’un point de vue rosicrucien, c’est un état de conscience. Pour être plus précis, c’est celui que manifeste dans son comportement toute personne qui est parvenue à éveiller les vertus que l’on attribue à l’âme humaine, dans ce qu’elle a de plus divin. Est donc sage celui ou celle qui fait preuve en toutes circonstances d’humilité, de sincérité, d’intégrité, de générosité, de bienveillance, de non-violence… Étant donné qu’un tel objectif ne peut être atteint en une seule vie, la plupart des Rosicruciens, comme je l’ai déjà mentionné, adhèrent à la réincarnation. Ainsi, de vie en vie, tout être humain est conduit à s’améliorer, se parfaire, jusqu’à exprimer ce qu’il y a de plus spirituel en lui. Dès lors, on peut considérer qu’il a atteint l’état de sagesse, désigné sous le nom d’«état de Rose-Croix» dans la Tradition rosicrucienne. Ayant atteint cet état, il n’est plus dans l’obligation de se réincarner.

Comment acquérir la sagesse ? En premier lieu, il faut le vouloir, en faire un objectif, une quête. En second lieu, il faut procéder avec méthode. Les Rosicruciens ont la leur : ils pratiquent l’alchimie spirituelle, laquelle consiste, non pas à transmuter les métaux vils en or, comme le faisaient jadis les alchimistes, mais à transmuter nos défauts en leurs qualités opposées : l’orgueil en humilité, l’égoïsme en générosité, la violence en non-violence, etc. C’est là une entreprise difficile qui nécessite du temps, mais l’expérience prouve qu’elle est efficace et source de satisfaction. En fait, c’est la seule voie permettant de nous transformer intérieurement et de nous rapprocher graduellement de l’état de sagesse, jusqu’à l’atteindre dans l’une de nos réincarnations successives. C’est ce qui fit dire à René Guénon : « Le processus initiatique et le Grand OEuvre hermétique ne sont en réalité qu’une seule et même chose : la conquête de la Lumière divine, qui est l’unique essence de toute spiritualité. »

Une autre question se pose : Pourquoi mener une quête de sagesse ? La réponse à cette question tient en un seul mot : s’améliorer. Mais dans quel but ? En premier lieu, pour devenir une meilleure compagnie pour soi-même, car tout défaut majeur est une cause de mal-être et fait de nous un ennemi de nous-mêmes, ce qui nous empêche d’être heureux. En deuxième lieu, pour devenir une meilleure compagnie pour les autres, qu’il s’agisse de nos proches, de nos amis, de nos collègues de travail, de nos voisins, et même des inconnus que nous croisons dans la rue chaque jour. En troisième lieu, pour devenir un(e) meilleur(e) citoyen(ne) et contribuer à l’évolution de la société, et ce, dans l’intérêt de tous. De toute évidence, le monde va mal en maints domaines, mais le seul moyen de le rendre meilleur est de s’améliorer soimême et, par l’exemple, de donner aux autres le désir d’en faire autant. Il s’agit finalement d’oeuvrer à l’émergence d’une « culture de la sagesse ».

C’est précisément parce que l’A.M.O.R.C. est soucieux de contribuer à l’évolution de la société qu’il publie régulièrement, sur internet ou dans des revues diverses, des textes destinés à éveiller les consciences. Parmi ceux qui l’ont déjà été, je citerai notamment la « Lettre ouverte aux citoyens et aux citoyennes du monde », la « Déclaration rosicrucienne des devoirs de l’Homme », le « Plaidoyer pour une écologie spirituelle », la « Contribution rosicrucienne à la paix », sans oublier la « Positio F.R.C. », l’« Appellatio F.R.C. » et les « Nouvelles Noces chymiques de Christian Rosenkreutz », trois Manifestes qui ont eu un grand retentissement en France, en Europe et dans le monde. On peut lire dans la conclusion du deuxième, paru en 2014 : « Nous souhaitons plus que jamais que l’humanité se donne une orientation spiritualiste, humaniste et écologiste, afin qu’elle renaisse à elle-même et cède la place à une Nouvelle Humanité, régénérée sur tous les plans. » Ces quelques lignes résument bien l’idéal et la philosophie des Rosicruciens.

Du fait qu’ils mènent une quête de sens, de connaissance et de sagesse, les Rosicruciens sont parfois qualifiés d’« utopistes ». Sans doute le sont-ils quelque peu. Mais qu’on se rappelle les paroles de Platon : « L’Utopie est la forme de Société idéale. Peut-être est-il impossible de la réaliser sur Terre, mais c’est en elle qu’un sage doit placer tous ses espoirs. »

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Conférence « Les mystères de la mort et de la réincarnation », à Saint-Denis, le 19 avril 2018

Conférence « Les mystères de la mort et de la réincarnation », à Lille, le 18 mai 2018

Conférence « Les mystères de la mort et de la réincarnation », à Bruxelles, le 15 juin 2018

Le rosicrucianisme : une quête de sens

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Benoît Allemane, acteur, est allé à la rencontre de Serge Toussaint, Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix. De cette rencontre est né « Quête de sens », un documentaire qui résonne comme un hymne à la spiritualité, à l’humanisme et à l’écologie.

C’est ainsi que Benoît Allemane, connu également pour prêter sa voix à de grands acteurs internationaux (dont Morgan Freeman) et à divers documentaires, interroge Serge Toussaint sur sa conception de Dieu, de l’âme humaine, du bien et du mal, du pourquoi et du comment de l’existence, etc.

Au cours de leurs pérégrinations, d’autres questions ont émergé : la souffrance est-elle une nécessité pour évoluer spirituellement ? La vie a-t-elle un sens ? Existe-t-il d’autres mondes habités ? Peut-on être optimiste pour l’avenir de l’humanité et de notre planète ? etc.

Filmé dans un cadre inspirant, accompagné de musiques de Michel Pépé et de Logos, ce documentaire ne peut laisser indifférent quiconque s’interroge sur lui-même, la vie en société et le sens profond de l’existence.


Pour en savoir plus sur :

► Benoît Allemane :

Site : http://www.benoitallemane.fr

► L’Ordre de la Rose-Croix :

Site : https://www.rose-croix.org/


Vidéo réalisée d’après une idée originale de Benoît Allemane et Etienne Mahé

Réalisateur : Etienne Mahé

Production  : Sphère Communication – 2018.

Musiques de  Michel Pépé

L’Odyssée Merveilleuse – Album Océan Lumière

Cantus Angelis – Album Natura Mystica

L’ Épée de l’Archange – Album Les Chemins du Nirvana

Terra Divina – Album Natura Mystica

L’Epopée Céleste – Album Natura Mystica

Lumière Mystique – Album Natura Mystica

 

Musiques de Logos

Fleuves de Vie – Album Biosphéra – Logos

Osmoses – Album Biosphéra – Logos

Instant Présent – Album Le Temps des Archanges – Logos

Emotional Piano – The JR Sound Design

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